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Le bilan de Wallimage

  • Session : 2022-2023
  • Année : 2022
  • N° : 260 (2022-2023) 1

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  • Question écrite du 22/12/2022
    • de CRUCKE Jean-Luc
    • à BORSUS Willy, Ministre de l'Economie, du Commerce extérieur, de la Recherche et de l'Innovation, du Numérique, de l'Aménagement du territoire, de l'Agriculture, de l'IFAPME et des Centres de compétences
    Plus de 3 millions d'euros ont été investis en 2022 via screen.brussels dans 32 projets qui devraient générer au minimum plus de 34 millions d'euros de dépenses audiovisuelles directes. Cela concerne 14 longs-métrages, 7 projets d'animation, 5 documentaires, 2 séries télé, 3 webséries et 1 collection de courts-métrages. 72 % des projets soutenus sont des productions majoritaires belges.

    Selon les autorités régionales bruxelloises qui viennent de présenter ces statistiques, le mécanisme de soutien sélectionne les projets en fonction de leur valeur économique pour la région, pour soutenir l'emploi et les entreprises locales.

    J'ai noté que 12 % de ces projets ont bénéficié du soutien financier d'un des deux autres fonds régionaux belges, Wallimage et Screen Flanders.

    Monsieur le Ministre peut-il tirer le bilan des activités de Wallimage pour l'année écoulée ?

    Ces financements ont-ils un réel impact sur la santé des entreprises du secteur en Wallonie ?
  • Réponse du 18/01/2023
    • de BORSUS Willy
    Le bilan 2022 de Wallimage sera officiellement présenté le 15 mars dans le cadre du Festival de Mons.

    Contrairement aux fonds flamand et bruxellois qui ne proposent respectivement que 2 et 3 sessions par an, Wallimage organise cinq sessions de coproduction avec une dernière salve organisée chaque année en décembre. Comme le mois de janvier commence en fanfare avec la première session 2023, le bilan est généralement rédigé après celle-ci.

    Le travail durant ces sessions s’articule sur une analyse en profondeur des investissements promis et de leurs effets structurants en Wallonie, sur la solidité des financements déjà acquis, mais aussi sur une évaluation du potentiel des œuvres et des conditions de remontées de recettes qui sont octroyées. Cette analyse purement économique est doublée par une évaluation des mesures « Green » mises en place par les producteurs afin de ne pas abuser des ressources naturelles qu’on sait tous limitées et de ne pas détériorer l’environnement.

    J’invite l’honorable membre, s’il le souhaite, à me revenir début mars pour de plus amples informations.