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Le quatrième volet de l'étude "quartiers durables"

  • Session : 2022-2023
  • Année : 2023
  • N° : 283 (2022-2023) 1

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  • Question écrite du 16/01/2023
    • de SCHONBRODT László
    • à BORSUS Willy, Ministre de l'Economie, du Commerce extérieur, de la Recherche et de l'Innovation, du Numérique, de l'Aménagement du territoire, de l'Agriculture, de l'IFAPME et des Centres de compétences
    Nous pouvons maintenant consulter en ligne des cartes dans le cadre du programme de développement durable de quartier pour les neuf communes de catégorie 1 : Chaudfontaine, Esneux, Liège, Limbourg, Pepinster, Rochefort, Theux, Trooz et Verviers.
    Cependant, les cartes ne permettent pas de se rendre compte précisément des types de bâtiments concernés.

    Monsieur le Ministre pourrait-il me dire pour chaque commune, le nombre de bâtiments servant en tout ou partie à une activité économique, de commerce, d'autre type d'activité (profession libérale, garage, etc.), le nombre de travailleurs concerné par ces lieux de travail dans les zones marquées « Améliorer la sécurité des lieux compte tenu des risques d'inondation en envisageant, en fonction des opportunités, l'acquisition du foncier et/ou du bâti » ?

    Pourrait-il me communiquer les mêmes informations pour les zones « Bâti (ou partie de bâti) problématique à traiter dans une configuration intégrant la résilience par rapport au risque. » également par commune ?
  • Réponse du 03/02/2023
    • de BORSUS Willy
    L’analyse statistique sur les entreprises ou les travailleurs que l’honorable membre me demande ne faisait pas partie des missions reprises dans le cahier spécial des charges de ce marché. En effet, le cahier spécial des charges du marché de services ne prévoit pas de produire de telles données.

    Il serait possible d’identifier, par commune, un nombre approximatif de bâtiments économiques concernés par les deux légendes qu’il vise sur la base de la typologie du bâtiment. Cependant, je ne pourrais lui garantir l’exhaustivité ni l’exactitude de la démarche, car celle-ci se baserait sur une analyse de terrain réalisée il y a quelques mois et la consultation de cartes statiques.

    En effet, tout comme moi, les prestataires n’ont pas accès à une base de données actualisées en temps réel sur les entreprises présentes ou actives dans tel bâtiment et encore moins sur le nombre de travailleurs concernés.

    Enfin, le Ministre-Président a une certaine vue des entreprises sinistrées par le prisme du Fonds des calamités régionales, mais toutes n’ont pas fait appel au Fonds, car elles ont été pleinement indemnisées par leur assurance. Je l’invite à le contacter s’il désire plus d’information à cet égard.