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L'utilisation des nouvelles technologies dans le secteur touristique

  • Session : 2012-2013
  • Année : 2012
  • N° : 18 (2012-2013) 1

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  • Question écrite du 15/10/2012
    • de MOUYARD Gilles
    • à FURLAN Paul, Ministre des Pouvoirs locaux et de la Ville

    La Province de Namur a, depuis quelques années, mis l’accent sur l’utilisation des nouvelles technologies comme voie de développement du tourisme. Cependant, il semblerait que cet élan ne soit pas nécessairement partagé pour l’ensemble du territoire wallon.

    Monsieur le Ministre a-t-il un plan de sensibilisation du secteur aux NTIC ? Des initiatives régionales ont-elles été lancées en ce sens ?
  • Réponse du 02/04/2014
    • de FURLAN Paul

    Suite à sa question relative au nombre de gîtes en Wallonie, j'informe l’honorable Membre de ce qui suit.

    Effectivement, la Province de Namur a mis l’accent sur l’utilisation des nouvelles technologies, mais elle n’est pas la seule : d’autres l’ont fait également, pour ne citer que la Fédération touristique provinciale du Hainaut et la Maison du Tourisme de la Wallonie picarde, mais aussi la Fédération touristique provinciale du Luxembourg belge.

    Par ailleurs, mon Administration a mis en œuvre la création d’une base de données de mutualisation de l’information touristique, appelée PIVOT, avec également comme objectif la mutualisation des développements technologiques.

    Aujourd’hui ce logiciel PIVOT est opérationnel et une vingtaine de Fédérations touristiques, Maisons de tourisme et Convention Bureau ont adhéré au système.

    Son déploiement est en cours et ma volonté est de créer un système unique d’échange d’informations permettant à chacun de pouvoir exploiter ses données pour alimenter notamment ses sites Web, mais également de les rendre disponibles au plus grand nombre.

    Le Commissariat général au tourisme continue par ailleurs les développements informatiques et met en place des partenariats avec des opérateurs privés pour offrir aux touristes internautes de nouveaux services, tant sur le Web que sur des plates-formes mobiles (tablettes numériques et smartphones) qui sont les terminaux d’aujourd’hui et encore plus de demain.