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Les actions entreprises par la Société liégeoise de gestion foncière

  • Session : 2012-2013
  • Année : 2013
  • N° : 144 (2012-2013) 1

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  • Question écrite du 25/03/2013
    • de JAMAR Hervé
    • à MARCOURT Jean-Claude, Ministre de l'Economie, des P.M.E., du Commerce extérieur et des Technologies nouvelles

    J’ai bien reçu la réponse de Monsieur le Ministre à ma question n° 172 (2011-2012) concernant les sommes versées par la Wallonie à la Société liégeoise de gestion foncière dans le cadre de ses missions.

    Parmi ces missions figurent notamment des études de faisabilité économique concernant la mise en œuvre du projet d’avenir d’Arcelor en Wallonie – bassin de Liège.

    Ce projet a fait l’objet d’une convention signée le 10 octobre 2005 entre la Wallonie, Cockerill-Sambre, la Société liégeoise de gestion foncière et Arceval.

    Monsieur le Ministre pourrait-il m’indiquer les études réalisées depuis cette date ? Peut-il également me communiquer le résultat de ces études ?
  • Réponse du 03/04/2013
    • de MARCOURT Jean-Claude

    La Société liégeoise de gestion foncière a été créée en 2004 dans le cadre de l’Accord Tripartite suite à l’annonce en 2003 de la fermeture de la phase à chaud à Liège.

    Dès sa création en 2005, la société a mené en collaboration avec différents acteurs (SPI, GRE, …) des études sur les sites concernés par cette fermeture que sont le Haut-fourneau B, Chertal, le Haut-fourneau 6, Transenster, les Ateliers centraux, le site de l’Aciérie LD et la cokerie.

    Ces sites ont été cartographiés et étudiés dans un premier temps au niveau de leur état de pollution. Ensuite, le potentiel de valorisation économique a également été étudié sur la majorité de ces sites.

    Avec l’arrivée du Groupe Mittal conduisant à la création du Groupe ArcelorMittal et la relance de la phase à chaud de Liège en 2008, la Foncière liégeoise a poursuivi ses travaux en collaboration avec la Ville de Seraing et la SPI, mais en se concentrant sur les sites non concernés par la relance des hauts-fourneaux, en particulier le site de l’Aciérie LD, Trasenster et les Ateliers centraux.

    La SA Foncière liégeoise constitue dès lors également une plate-forme de discussions où des acteurs extérieurs sont invités (autorités de Seraing, GRE, SPI,…). Il y est abordé le devenir des sites identifiés afin d'envisager des perspectives de reconversion qui entrent en complémentarité avec les besoins identifiés sur le territoire. Des pistes sont mises sur la table, des scenarii sont analysés.