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L'avancement du projet du triage-lavoir de Péronnes-lez-Binche

  • Session : se2014
  • Année : 2014
  • N° : 49 (se2014) 1

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  • Question écrite du 17/09/2014
    • de KNAEPEN Philippe
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    À l’abandon depuis des dizaines d’années, le triage-lavoir du centre situé à Binche fait l’objet d’un vaste projet de sauvetage mené par l’IPW. Le projet à l’arrêt à plusieurs reprises ces dernières années a l’air d’avoir repris court dernièrement.

    Monsieur le Ministre pourrait-il faire le point sur ce dossier ? Qu’en est-il de la vision de l’actuel Gouvernement wallon sur cet ouvrage titanesque ?

    À une époque l’IFAPME était intéressée et souhaitait même s’installer sur le site ?

    Qu’en est-il à ce jour ? Des crédits sont-ils disponibles pour la finalisation de ce dossier et de ce chantier en cours depuis bien longtemps ?

    Si une nouvelle annexe est en construction à côté du bâtiment actuel, à quel usage est destinée à ce jour l’énorme place disponible dans le bâtiment principal ?
  • Réponse du 08/10/2014
    • de PREVOT Maxime

    Le dossier du Triage-lavoir de Péronnes retient toute mon attention. Avec l’Institut du Patrimoine wallon, nous poursuivons la réflexion en vue de soumettre au Gouvernement wallon une actualisation du projet de réaffectation.

    La S.A. de droit public « Triage-lavoir du Centre » avait proposé en mai 2012 une option phasée et plus raisonnable sur le plan budgétaire. La concrétisation de la décision du Gouvernement fédéral, à fin avril 2014 et le début des travaux de construction du bâtiment enterré implanté à proximité immédiate du bâtiment classé invitent effectivement à relancer les discussions avec mes collègues du Gouvernement sur cette base et à lumière des prochaines décisions en matière budgétaire.

    Parallèlement, les contacts seront repris sous peu avec l’administration régionale concernée par l’occupation de la majeure partie du bâtiment (Centre de Conservation et d’Études-dépôt archéologique central), tout comme avec l’I.F.A.P.M.E., qui était partie prenante pour environ un quart de la surface disponible.