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L'utilisation des tablettes, smartphones, ordinateurs et autres écrans par les jeunes

  • Session : 2014-2015
  • Année : 2015
  • N° : 223 (2014-2015) 1

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  • Question écrite du 26/01/2015
    • de PECRIAUX Sophie
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    Plusieurs études ont récemment démontré que les jeunes qui s'endormaient avec une tablette ou un smartphone connaissaient de sérieux problèmes de sommeil, ce qui peut entraîner de graves problèmes de santé (diabète, obésité, maladies cardio-vasculaires, ...), de concentration, de somnolence, etc.

    Monsieur le Ministre a-t-il une connaissance plus précise de l'ampleur du problème? Y a-t-il des études réalisées en Région wallonne ? Quelles peuvent être les mesures de prévention que nous pouvons prendre pour nos jeunes, dont on sait qu'un sommeil réparateur participe au bon développement du cerveau et plus particulièrement en période scolaire ?

    Ne faudrait-il pas veiller à ce que les services de promotion de la santé abordent le sujet des nuisances liées à l'utilisation de la tablette, du smartphone, qui diminuent les heures de sommeil des petits, des moyens et des grands ?
  • Réponse du 17/02/2015
    • de PREVOT Maxime

    La question de l’honorable membre soulève la problématique de la prévention des assuétudes en particulier chez les jeunes.

    La politique de la prévention des assuétudes (dont la consommation d’écrans fait partie) a été transférée de la Fédération Wallonie-Bruxelles à la Région Wallonne. Dès lors, je voudrais mettre en évidence une des missions des centres locaux de promotion de la santé, à savoir les points d’appui « assuétudes » qui ont pour mission d’identifier les attentes des écoles en matière de prévention des assuétudes.

    Par ailleurs, en ce qui concerne plus spécifiquement la prévention de la santé chez les jeunes de 0 à 18 ans, il s’agit d’une compétence qui n’a pas été transférée et est toujours à la Fédération Wallonie-Bruxelles.

    Je vous invite à relayer votre question vers la ministre compétente en Communauté française Wallonie-Bruxelles.