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L'état du revêtement de la route d'Obourg à Mons

  • Session : 2014-2015
  • Année : 2015
  • N° : 343 (2014-2015) 1

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  • Question écrite du 04/03/2015
    • de MARTIN Nicolas
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    J'ai été interpellé à plusieurs reprises quant à l'état du revêtement de la route d'Obourg, à Mons. Ce sujet inquiète en effet de nombreux riverains, compte tenu des désagréments importants qu'il provoque. Le ballet incessant de camions empruntant cette route pour se rendre aux cimenteries d'Obourg entraîne en effet une usure importante de la chaussée, qui était autrefois gérée par la Province de Hainaut.

    Cette situation est plus que problématique pour les riverains de cette chaussée en béton. Le flux de camions étant très soutenu, et ce, dès 5 heures du matin, l'état de la chaussée génère des vibrations importantes et réveille bien souvent les habitants qui vivent à proximité. Aussi, j'aurais souhaité que la réfection indispensable de cette route puisse être envisagée par la Région, à l'image des autres axes de pénétration dans Mons récemment rénovés.

    Monsieur le Ministre peut-il dès lors m'indiquer quelles sont ses intentions en la matière et si cette réfection pouvait s'inscrire dans le Plan routes du Gouvernement ?
  • Réponse du 23/03/2015
    • de PREVOT Maxime

    Une étude pourra être menée, en fonction du type de revêtement, par le département des expertises techniques de mon administration qui objectivera la situation actuelle.


    Un premier tronçon de cet axe a fait l’objet d’une réfection en profondeur en 2013.


    La réhabilitation du tronçon restant dépendra de la fonctionnalité que l’on veut donner à cette voirie.


    En effet, un axe de pénétration important pour Mons ainsi qu’une liaison directe avec le R5-Est est la future liaison du contournement de Thieu et l’autoroute E42 (sortie Le Roeulx).

    En attendant, le Service public de Wallonie (SPW) maintient à l’heure actuelle deux bandes de circulation sur la section via les baux d’entretien ordinaires.

    À terme, des mesures transitoires devront être prises afin de neutraliser la chaussée en attendant une programmation des travaux de réhabilitation en profondeur de la section, et ce, en fonction des priorités et des moyens budgétaires disponibles.