La réhabilitation de la RN 547 à Tertre

• Session : 2016-2017
• Année : 2017
• N° : 846 (2016-2017) 1

2 élément(s) trouvé(s).

• Question écrite du 04/05/2017

  • de BAURAIN Pascal
  • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine
  
  J'ai bien reçu la réponse que Monsieur le Ministre réservait à ma question écrite du 15 mars dernier relative aux nécessaires travaux de réfection du tronçon de la RN 547 reliant Tertre à Hautrage, où d'importantes dégradations constituent de dangereux obstacles pour les motocyclistes et automobilistes cherchant à les éviter.
   
  Les enfoncements de voirie sont tels que les immeubles riverains subissent d'importantes vibrations qui se traduisent par des fissures et fendillements en leurs immeubles.
   
  Le danger réside également pour les piétons circulant en accotement qui risquent d'être fauchés par les automobilistes qui contournent les dégradations du revêtement.
   
  J'ai pris bonne note qu'une campagne d'entretien est programmée sur cette section pour ce premier semestre 2017.
   
  Les travaux que j'évoque sont nécessaires face au n°139 à Tertre, et à Hautrage, au niveau de l'accès du pont surplombant le canal Nimy-Blaton, à hauteur du site du moulin à vent.
   
  Compte tenu de ces précisions complémentaires, Monsieur le Ministre peut-il me préciser à son tour quand débuteront les travaux attendus ?

• Réponse du 23/05/2017

  • de PREVOT Maxime
  
  J'informe que les travaux sur la N547, consistant en des réparations localisées via le marché d’entretien ordinaire routier, sont en cours et seront terminés début juin.
   
  La dégradation au niveau du pont s'est fortement aggravée après cet hiver. Elle est régulièrement réparée au tarmac à froid en attendant une intervention plus spécifique et conséquente sur le tablier de l’ouvrage, qui sera programmée prochainement dans le cadre du marché d’entretien des ouvrages d’art.
   
  Pour le reste, en ce qui concerne les dégradations, il s'agit essentiellement de problèmes surfaciques sur 2 à 3 cm de profondeurs de la couche d'usure. Comme déjà expliquées dans ma réponse précédente, ces dégradations ne présentent pas de danger particulier.