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L'encouragement des communes à mettre en place des infrastructures de mobilité douce

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2017
  • N° : 408 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 27/11/2017
    • de BALTUS-MÖRES Jenny
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings

    Je salue la volonté de la Wallonie à encourager l’utilisation plus régulière du vélo. La semaine dernière, le Gouvernement a validé des subventions à hauteur de 5,46 millions d’euros à destination de 62 villes et communes wallonnes en matière de mobilité douce.

    L’objectif est de renforcer l’utilisation et l’accessibilité du réseau RAVeL, par la création de nouveaux raccordements ou l’aménagement de connexions existantes.

    Tout cela m’apparait très utile et important. Selon mon avis, afin de promouvoir la mobilité douce et la micromobilité électrique, il faut encadrer et sécuriser les chemins, surtout ceux pour se rendre aux écoles.

    J’aimerais savoir, d’une part, s’il existe des communes qui présentent un retard ou qui souhaitent tout simplement ne pas investir dans le développement des infrastructures favorisant la mobilité douce. Si cela est avéré, Madame la Ministre peut-elle me fournir des explications de ce retard ou éventuellement d’un manque d’intérêt ? En outre, est-il possible de dégager un profil type de ces communes qui expliquerait ce décalage?

    D’autre part, en tant que Ministre compétente, constate-t-elle que la volonté des communes d’investir dans la mobilité douce est satisfaisante ou devrait-elle être plus ambitieuse ?
  • Réponse du 18/12/2017
    • de DI ANTONIO Carlo

    Au-delà des mesures d’encouragements prises au niveau régional, telles que le programme de subvention de près de 5,5 millions d’euros que j’ai validés à destination des 62 villes et communes, la dynamique d’investissements en faveur de la mobilité douce sur le réseau communal relève d’abord des décisions prises par les autorités de chacune des villes et communes concernées.

    À cet égard, la majorité d’entre elles ont bien la volonté d’investir dans le développement des infrastructures favorisant la mobilité douce, comme en témoigne le nombre élevé de candidatures reçues pour ledit programme de subvention.