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La rénovation de la chapelle Sainte-Marguerite et de l'Attacat à Mons

  • Session : 2020-2021
  • Année : 2021
  • N° : 178 (2020-2021) 1

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  • Question écrite du 18/03/2021
    • de DISABATO Manu
    • à DE BUE Valérie, Ministre de la Fonction publique, de l'Informatique, de la Simplification administrative, en charge des allocations familiales, du Tourisme, du Patrimoine et de la Sécurité routière
    Madame la Ministre a sans doute eu vent du débat au Conseil communal de Mons en février dernier concernant l'état de la chapelle Sainte-Marguerite à Mons.
     
    Ce bâtiment, avec l'Attacat, qui fait partie des plus vieux de la Ville, est aujourd'hui dans un état de délabrement avancé, étant recouvert de bâches et de lierre, ne disposant pas de chauffage, et les fenêtres étant bouchées avec du matériel de fortune.
     
    Si la Ville de Mons montre un intérêt particulier pour son patrimoine, elle n'est toutefois pas disposée à pouvoir injecter les sommes nécessaires à la rénovation de la chapelle et de l'Attacat.
     
    Une demande a-t-elle été introduite afin d'obtenir des fonds dans le but de rénover la chapelle et/ou l'Attacat ?
    Le cas échéant, quels montants ont été débloqués et quelles mesures ont été prises en ce sens ?
     
    Quel en est l'agenda ?
  • Réponse du 07/04/2021
    • de DE BUE Valérie
    L’ensemble dit de l’Attacat à Mons, qui comprend notamment la chapelle Sainte-Marguerite, est classé comme monument. À ce titre, il doit faire l’objet d'une procédure d’autorisation patrimoniale avant travaux et peut bénéficier de subventions à la restauration.

    Une réunion s’est tenue, le 9 mars dernier, entre l’AWaP et la Ville de Mons pour faire le point sur les dossiers patrimoniaux montois. Le projet de restauration de l’Attacat y a été évoqué.

    Il y a été convenu :
    - que des mesures conservatoires urgentes devraient être prises en vue de stabiliser provisoirement le pignon du Vieux Logis. Le dossier a été rentré par la Ville et une réunion s’est tenue le 24 mars. L’AWaP a donné son aval afin que la Ville de Mons puisse immédiatement mettre en œuvre ces mesures conservatoires urgentes ;
    - qu'un projet de restauration globale sera introduit par la Ville auprès de l’AWaP. Sur cette base, des réunions pourront être organisées afin d’examiner les travaux envisagés.