/

L'utilisation d'un vaccin d'origine différente lors de l'injection de la deuxième dose dans la campagne de vaccination contre la Covid-19

  • Session : 2020-2021
  • Année : 2021
  • N° : 286 (2020-2021) 1

1 élément(s) trouvé(s).

  • Question écrite du 15/04/2021
    • de LAFFUT Anne
    • à MORREALE Christie, Ministre de l'Emploi, de la Formation, de la Santé, de l'Action sociale, de l'Egalité des chances et des Droits des femmes
    Le Gouvernement britannique a débloqué une somme de près de 8 millions d'euros pour le financement d'une étude scientifique de type « Prime boost » auprès de l'Université d'Oxford. Lancée le mois dernier, cette étude clinique vise à tester l'efficacité d'un schéma combinant une dose du vaccin AstraZeneca/Oxford et une autre de celui de Pfizer. Les résultats sont attendus pour le mois de juin.
     
    Mais sur le terrain, chez nous en Wallonie, il semble que l'injection de vaccins différents soit déjà d'application. En effet, au centre de vaccination du WEX, des Rochefortois qui avaient reçu une dose de Pfizer ont reçu une seconde dose d'AstraZeneca.
     
    Est-ce le fruit d'un défaut d'approvisionnement, d'une erreur humaine ou d'une faille technique, voire informatique ?
     
    Cette situation est-elle inédite ?
    Dans la négative, dans quel(s) autre(s) centre(s) de vaccination ces cas de figure ont-ils été identifiés ?
    Combien de cas ont ainsi été recensés ?
    Avec quel(s) impact(s) sur l'encodage dans Vaccinnet ?
     
    Ce point a-t-il fait l'objet de discussions, avec la Cellule Covid, l'AViQ, en task force Vaccination ou encore en CIM Santé ?
    Si oui, quels en sont les conclusions et les nouveaux protocoles éventuels ?
     
    Comment ces personnes seront-elles suivies médicalement ?
     
    Leurs médecins sont-ils prévenus ?