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L'encéphalite à tique

  • Session : 2020-2021
  • Année : 2021
  • N° : 387 (2020-2021) 1

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  • Question écrite du 18/06/2021
    • de VANDORPE Mathilde
    • à MORREALE Christie, Ministre de l'Emploi, de la Formation, de la Santé, de l'Action sociale, de l'Egalité des chances et des Droits des femmes
    Avec le retour des beaux jours et la reprise des voyages, les expositions aux morsures de tiques sont en augmentation. On parle souvent des risques de maladie de Lyme, mais je voudrais entendre Madame la Ministre sur les risques d'encéphalite transmis par les tiques.

    Il y a entre 5 000 et 12 000 personnes qui souffrent d'encéphalite à tiques (TBE) en Europe chaque année, et 2020 a été une année record de nouveaux cas. Cela est peut-être dû à un meilleur dépistage l'année dernière, mais les biologistes rappellent que les hivers doux sont favorables à la présence des tiques dans différentes régions d'Europe.

    S'il n'existe pas de traitement contre cette maladie, il existe un vaccin. Le Conseil supérieur de la Santé et l'Institut tropical d'Anvers recommandent tous deux cette vaccination pour les Belges qui se rendraient dans une région endémique du virus de l'encéphalite à tiques.

    Quels sont les messages de prévention qu'elle prône par rapport à la vaccination contre cette maladie ?

    Comment les Wallons sont-ils informés de l'existence de cette vaccination ?

    Quels sont les moyens déployés par la Wallonie pour prévenir tant la maladie de Lyme que les encéphalites à tiques ?

    Enfin, ne serait-il pas utile de mettre en place un système de surveillance de ces maladies plus efficace pour déterminer le nombre exact de patients concernés ?
  • Réponse du 02/09/2021
    • de VANDORPE Mathilde
    L'auteur de la QE a choisi d'appliquer l'art.144.4 du règlement du Parlement de Wallonie.