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L'enquête relative à l'utilisation de DogID et CatID

  • Session : 2021-2022
  • Année : 2022
  • N° : 372 (2021-2022) 1

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  • Question écrite du 25/02/2022
    • de DODRIMONT Philippe
    • à TELLIER Céline, Ministre de l'Environnement, de la Nature, de la Forêt, de la Ruralité et du Bien-être animal
    Les représentants des éleveurs, refuges et associations ainsi que leurs membres sont invités à répondre à une enquête relative à l'utilisation de DogID et CatId.

    Quelles sont les raisons de ce sondage ? Que doit-il permettre ?

    Combien de personnes sont visées par cette enquête ?

    Quand celle-ci sera analysée ?

    Les deux plateformes vont-elles subir des modifications ?

    Quand Madame la Ministre pourra-t-elle nous communiquer les résultats et les améliorations qui seront apportées ?
  • Réponse du 10/03/2022
    • de TELLIER Céline
    Les marchés qui couvrent la gestion de bases de données Cat ID et Dog ID viennent à échéance dans le courant de l’année 2023. Dès lors, en concertation entre les trois Régions, nous avons en effet décidé de réaliser un sondage sur l’utilisation des plateformes Dog ID et Cat ID.

    Les associations représentant les éleveurs, les refuges et les vétérinaires ont été sollicitées pour répondre ou répercuter à leur base respective le formulaire d’enquête à compléter en ligne ou à nous retourner par courrier.

    Par ailleurs, l’adaptation des bases de données aux dispositions contraignantes du RGPD a eu un impact important sur les utilisateurs et nécessite une révision du cadre législatif.

    Il faut noter aussi que Cat ID a été développée bien plus tard que Dog ID, et sous un autre format informatique.

    Cette conjonction d’évènements nous offre donc une opportunité d’interroger les utilisateurs, quant à leur usage pratique des plateformes, afin d’envisager les évolutions possibles dans le cadre du renouvellement du marché de gestion. Si l’enquête ne remet pas en question les principes de base, elle pourrait nous permettre d’orienter des choix technologiques pour faciliter la pratique de ces plateformes.

    Ces choix seront bien entendu pris en bonne concertation entre les trois Régions, selon les réponses reçues, mais aussi les contraintes légales, financières et la finalité de ces bases de données. Le défi étant de satisfaire une certaine convivialité d’utilisation tout en garantissant la sécurité nécessaire des données.