à DI RUPO Elio, Ministre-Président du Gouvernement wallon
Sur le site web inondations.wallonie.be, on peut lire que : « Dans le cadre de la délimitation des zones à risque, l'arrêté royal du 12 octobre 2005, prévoit comme critère de récurrence, une période de retour de l'inondation inférieure ou égale à 25 ans et et comme critère de submersion, une hauteur d'eau d'au moins 30 cm. La combinaison de ces critères correspond à la valeur élevée de l'aléa, soit des zones ayant été, ou pouvant être, exposées à des inondations répétitives importantes. La loi permet alors aux assurances de refuser de couvrir les constructions qui y seraient érigées 18 mois après la parution des nouvelles zones à risque. »
En cas de refus d'assurance, que devient l'immeuble ?
Le Fonds des calamités peut-il tout de même intervenir sur un sinistre dans ces conditions ? A quelle hauteur ?