Les aménagements alternatifs aux zones de basses émissions
- Session : 2023-2024
- Année : 2024
- N° : 367 (2023-2024) 1
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Question écrite du 26/03/2024
- de FONTAINE Eddy
- à TELLIER Céline, Ministre de l'Environnement, de la Nature, de la Forêt, de la Ruralité et du Bien-être animal
On le sait, la Ville de Namur avait refusé de devenir une zone de basses émissions étant donné le caractère inégalitaire de la proposition. En effet, seulement Namur et Eupen étaient inscrites dans le projet pilote. Ainsi, le collège communal a travaillé sur des alternatives et l'extension du piétonnier s'est avérée la meilleure solution.
De cette manière, les véhicules pourront se garer à l'extérieur des zones piétonnes et permettront aux détenteurs de véhicules polluants, notamment issus de la ruralité, de garder leur voiture sans détériorer la qualité de l'air.
L'échevine namuroise de la Transition écologique a précisé que d'autres mesures étaient prévues afin d'améliorer la qualité de l'air en ville, notamment avec des aménagements de végétalisation des villes.
Madame la Ministre a déclaré vouloir soutenir les villes wallonnes dans la mise en place d'aménagements alternatifs aux zones de basses émissions, comment ce soutien va-t-il se traduire ?
Comment Madame la Ministre collabore-t-elle avec le Ministre Henry pour l'harmonisation des espaces « verts » et des aménagements en matière de mobilité, notamment pour la création de parkings de délestage ?
On a constaté qu'à Bruxelles, notamment, avec le plan « Good Move », la sécurité des citoyens et l'attractivité des communes étaient mises à l'épreuve.
Comment est-il possible d'instaurer un climat de confiance dans ces futurs espaces ?