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Tongre-Notre-Dame et son pont inempruntable.

  • Session : 2006-2007
  • Année : 2007
  • N° : 154 (2006-2007) 1

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  • Question écrite du 15/06/2007
    • de CRUCKE Jean-Luc
    • à DAERDEN Michel, Ministre du Budget, des Finances, de l'Equipement et du Patrimoine

    A Tongre-Notre-Dame, une partie du village est coupée du reste de celui-ci par un cours d'eau. Il y a bien un pont reliant les deux rives du canal mais, pour des raisons de sécurité, il a été interdit d'accès en 2003. Ce faisant, les habitants de plus d'une vingtaine de maisons doivent faire un long détour pour rejoindre le cœur du village ... pourtant à quelques mètres.

    Certes, la réfection du pont leur a été promise. Cependant, aujourd'hui, en juin 2007, il faut bien constater que la situation ne s'est toujours pas améliorée. Et ce n'est pas faute d'avoir interpellé les autorités politiques. Les responsables communaux, en la personne du bourgmestre, ont fait savoir qu'elles avaient reçu la promesse ferme de Monsieur le Ministre de réparer « au plus vite » ce pont, c'est-à-dire en 2007. Les crédits semblent même avoir été prévus au budget. Qu'en est-il vraiment?

    Monsieur le Ministre a-t-il promis aux autorités chiévroises de refaire ce pont ? Où en est-on dans ce dossier ? Les crédits ont-ils été prévus à cet effet en 2007 ? A concurrence de quel montant les travaux seront-ils effectués ? Quels sont les obstacles à la réalisation de ces travaux ? Débuteront-ils prochainement ?
  • Réponse du 13/07/2007
    • de DAERDEN Michel

    En réponse à sa question j’informe l’honorable Membre que la situation du pont Devylder à Chièvres est bien connue de me services.

    La Direction des voies hydrauliques de Tournai a en effet fait fermer ce pont à la circulation automobile (mais pas piétonne ni cycliste) en 2003, et ce, pour de légitimes raisons de sécurité.

    Mon souhait est bien de faire reconstruire un nouveau pont, mais ce dossier a pris quelques retards par rapport au calendrier initialement envisagé.

    Sa mise en adjudication ne devrait en effet avoir lieu que d’ici une année, lorsque les études techniques (qui sont actuellement en cours) seront terminées, que l’expropriation d’une petite parcelle de terrain nécessaire à la reconstruction du pont aura été réalisée et que le permis d’urbanisme aura été obtenu.

    Le coût de reconstruction de ce pont est quant à lui estimé à 500.000 euros.