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Voitures utilisées par les Ministres de la Région wallonne.

  • Session : 2007-2008
  • Année : 2008
  • N° : 146 (2007-2008) 1

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  • Question écrite du 12/02/2008
    • de SENESAEL Daniel
    • à COURARD Philippe, Ministre des Affaires intérieures et de la Fonction publique

    A l'heure à laquelle l'ensemble du monde doit s'engager dans la lutte contre le réchauffement climatique, il appartient plus que jamais à la classe politique de montrer le bon exemple à nos concitoyens. Un des messages à transmettre à la population est d'ordre environnemental.

    Les journalistes du « Morgen » ont récemment publié une enquête concernant les voitures utilisées par nos ministres fédéraux.

    Sans polémiquer, force est de constater que les grosses cylindrées polluantes ont la côte. Bien sûr, une voiture ministérielle se doit d'être confortable, car elle fait le plus souvent office de deuxième bureau. Mais il est possible de concilier confort et voiture « verte ».

    Monsieur le Ministre peut-il me faire l'inventaire des voitures au niveau de son Cabinet et leurs considérations techniques en ce qui concerne leur impact polluant ?

    Quels efforts envisage-t-il d'entreprendre pour améliorer les performances environnementales de son parc automobile? Quels sont les objectifs et dans quels délais pense-t-il les atteindre ?
  • Réponse du 29/02/2008
    • de COURARD Philippe

    J'informe l'honorable Membre de ce que le parc automobile de mon Cabinet comporte une Audi A8, une BMW 320 D break, six Ford Focus, une Ford C-Max, une Ford S-Max, trois Ford Mondéo et une Ford Tournéo.

    A l'exception d'un véhicule, tous présentent une consommation de C02 par kilomètre inférieure à la norme des 195 g/km.

    En outre, ceux-ci seront toujours en conformité avec la norme qui sera d'application à partir de 2010, à savoir 186 g/km.

    Par ailleurs, l'âge des voitures n'excède pas trois années et les entretiens se font régulièrement en respectant les prescriptions du constructeur.

    Il est clair qu'à l'avenir, si certains véhicules devaient être remplacés, il serait tenu compte des dernières technologies en vigueur sur le plan écologique, et ce, pour autant que les impératifs budgétaires permettent leur acquisition.