/

Guerre des golfs à Tournai.

  • Session : 2008-2009
  • Année : 2008
  • N° : 138 (2008-2009) 1

2 élément(s) trouvé(s).

  • Question écrite du 01/12/2008
    • de BERTOUILLE Chantal
    • à ANTOINE André, Ministre du Logement, des Transports et du Développement territorial

    La région du Hainaut occidental attire de plus en plus les investisseurs. On n'y dénombre plus les projets de grande ampleur qui sont annoncés régulièrement dans la presse locale. En matière de golf, pas moins de quatre projets ont été annoncés. Outre celui du Centre de glisse de Péronnes, on parle aujourd'hui d'un parcours au Pic-au-Vent à Tournai, d'un autre à Rumillies et enfin d'un quatrième à Molenbaix.

    Le projet du Centre de glisse de Péronnes semble suivre son cours. Monsieur le Ministre peut-il me rappeler l'état de la procédure concernant la réalisation du Centre de glisse ? Les promoteurs du Centre de glisse de Péronnes parlent-ils toujours de l'implantation d'un golf ?

    Le projet du Pic-au-Vent est-il encore d'actualité ? Qu'en est-il des projets situés à Rumillies ou encore à Molenbaix ? Les demandes officielles ont-elles également été introduites auprès des autorités compétentes dans le cadre de la réalisation de ces différents projets?
  • Réponse du 22/07/2009
    • de ANTOINE André

    Lors d'une question écrite précédente (n° 592), posée par Monsieur le Député Senesael, je lui ai confirmé que plusieurs promoteurs privés avaient émis le souhait de voir s'implanter des terrains de golf dans la région toumaisienne mais qu'aucune demande n'avait été introduite de manière officielle.

    Des projets similaires seraient envisagés à Molenbaix, à Rumilies, à Péronnes et à Tournai au lieu-dit « Le Pic-au-Vent ». Renseignements pris auprès du fonctionnaire délégué territorialement compétent je réitère le contenu de ma précédente réponse: de telles demandes n'existent qu'au stade de projets, sans qu'à ma connaissance, celles-ci n'aient été déposées de manière officielle. Il semble que certains promoteurs aient pris des contacts préalables auprès des riverains et des instances communales, ce qui est empreint de bon sens dans ce genre de projets. Je tiens aussi à rappeler à l'honorable Membre que je ne représente en aucune façon l'autorité compétente pour les décisions de première instance.