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L'absence de travaux de réfection rapide d'un muret de séparation rue Louis Fraigneux (R.N. 3) à Liège qui génère des embarras de circulation disproportionnés en regard de l'ampleur minimale du chantier

  • Session : 2010-2011
  • Année : 2011
  • N° : 347 (2010-2011) 1

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  • Question écrite du 11/02/2011
    • de CREMASCO Veronica
    • à LUTGEN Benoît, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine

    Dans le sens centre vers périphérie, soit du carrefour « Hocheporte » vers le carrefour « Fontainebleau » à Liège, la chaussée dite normale est séparée du site propre bus, situé en contrebas, par un muret. Voilà près d’un an déjà, plusieurs pierres de taille de ce muret se sont détachées et ont chuté sur le site propre en contrebas.

    Depuis, la chaussée carrossable est réduite d’une voie et la circulation des autobus en contrebas est réglée alternativement par un feu lumineux provisoire, en l’attente de la réparation de ce muret.

    Plusieurs centaines d’autobus empruntent quotidiennement ce tronçon ; la circulation alternée entraîne donc des retards, ce qui a inévitablement un coût.

    Je suis interpellée par des usagers des lieux qui ne comprennent pas comment une réparation aussi minime (un peu de cimentage semble-t-il) n’est toujours pas réalisée.

    Monsieur le Ministre peut-il me préciser :
    - de quand date le délitage de ce muret;
    - quel montant on peut estimer le coût entraîné par le retard cumulé par les centaines d’autobus utilisant cet axe;
    - quel est le coût (location) des dispositifs provisoires utilisés pour régler la circulation;
    - qui est en charge de reconstruire ce muret : la Direction des routes ou la Société régionale wallonne du transport;
    - une évaluation du coût de cette réparation est-elle disponible ?

    Dans quel délai peut-on espérer voir enfin aboutir ce minuscule chantier de réparation ?
  • Réponse du 04/03/2011 | Annexe [PDF]
    • de LUTGEN Benoît

    La Direction générale des Routes signale que le problème que l'honorable membre évoque dépasse le simple cimentage de quelques pierres.

    En effet, il est lié à une usure structurelle ayant des répercutions au niveau de la stabilité du mur de soutènement. Cette usure a été détectée il y a un an.

    Après avoir procédé à l’analyse de cette usure, la réparation est actuellement en cours d’attribution par la Direction des Routes de Liège de sorte qu’elle puisse débuter le plus rapidement possible, en fonction des impératifs liés à la législation sur les marchés publics et ceux imposés par les conditions météorologiques.

    Voir schéma, en annexe.