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La saturation de nos infrastructures routières

  • Session : 2010-2011
  • Année : 2011
  • N° : 364 (2010-2011) 1

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  • Question écrite du 22/02/2011
    • de STOFFELS Edmund
    • à LUTGEN Benoît, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine

    En une décennie, nous avons assisté à une importante augmentation des flux autoroutiers, causant aujourd'hui de réelles paralysies du trafic aux heures de pointe. Par ailleurs, la Wallonie est également une plaque tournante pour le trafic européen, voire même intercontinental. Cette saturation ne concerne donc pas seulement les voitures mais aussi les camions, lesquels génèrent en plus des problèmes sur le plan de la sécurité routière et des nuisances diverses. En outre, nous devons nous préparer à un flux autoroutier encore encore plus important dans les années à venir.

    Enfin, ne sous-estimons pas non plus l’impact économique des bouchons autoroutiers. Selon certains, le temps qu’on passe dans les bouchons, calculés en argent, représente environ 0.04% à 0.05 % du PIB.

    Évidemment, la situation n’est pas identique partout, certains tronçons étant plus saturés que d'autres.

    Quelles sont les zones saturées, voire même sursaturées ? Et quelles sont les zones qui - à politique constante - s’ajouteront à la liste des zones saturées d’ici 2015 ? Quelles sont les pistes de réflexion et quels seront les chantiers concrets pour prévenir l’infarctus autoroutier ? Qu'en est-il du développement des modes de transport alternatifs ? Dans quelle mesure peut-on voir ces modes alternatifs améliorer la situation actuelle ?
  • Réponse du 11/03/2011
    • de LUTGEN Benoît

    J’ai l’honneur de faire savoir à l'honorable membre que le dossier évoqué dans sa question ne relève pas de mes compétences.

    Je l'invite donc à interroger mon collègue le Ministre Henry, compétent en matière de mobilité.