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Le carrefour de la R.N. 68 et de la Merolserstrasse

  • Session : 2010-2011
  • Année : 2011
  • N° : 482 (2010-2011) 1

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  • Question écrite du 26/04/2011
    • de STOFFELS Edmund
    • à LUTGEN Benoît, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine

    Le carrefour de la R.N. 68 et de la Merolserstrasse (à ne pas confondre avec le carrefour à Merols) a souvent fait la une dans la presse germanophone parce que des accidents (dont plusieurs mortels ou avec conséquences graves pour la santé des victimes) se produisent régulièrement à cet endroit.

    Le lieu a été visité par l’IBSR. En résumé, les constats faits sont les suivants :
    d’une part, la vitesse des conducteurs sur la R.N. 68 est trop élevée. Ceux qui viennent de la Merolserstrasse et qui doivent s’engager sur la R.N. 68, risquent leur vie ;
    d’autre part, l’existence de ce carrefour est mal signalée. Un conducteur non averti s’en aperçoit seulement au dernier moment ;
    finalement, des enfants doivent traverser la R.N. 68 aux moments où le trafic est le plus dense, soit les matins et les après-midi lorsqu’ils se rendent ou lorsqu’ils reviennent de l’école. Un arrêt de bus existe, certes, mais sur le plan de la sécurité routière, c’est un problème.

    Puis-je demander à Monsieur le Ministre à ce que ses services fassent un rapport de la situation, qu’ils prennent contact avec les riverains pour écouter leur doléances et qu’ils proposent des solutions pour limiter le danger bien trop réel ?

    Ce sont des investissements qui sauveront des vies ...
  • Réponse du 16/05/2011
    • de LUTGEN Benoît

    Selon les chiffres communiqués par la Police, la Direction générale des Routes du Service public de Wallonie (SPW) ne dénombre, pour les années 2005 à 2009, que six accidents qui ont fait uniquement des blessés légers.

    Il semble que le respect des limitations de vitesse et le passage pour piétons à l’arrêt de bus font débat au niveau de la sécurité routière. J’ai donc demandé à la Direction générale des Routes du SPW d’organiser une réunion de la Commission provinciale de sécurité routière afin que tous les intervenants concernés (Police, autorités communales, IBSR, association de riverains, SPW, TEC, etc.) soient mis autour de la table pour trouver une solution adéquate ensemble.