Le choix de scinder Dexia Belgique et Dexia France ou celui de céder les actifs

• Session : 2011-2012
• Année : 2011
• N° : 172 (2011-2012) 1

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• Question écrite du 15/12/2011

  • de STOFFELS Edmund
  • à ANTOINE André, Ministre du Budget, des Finances, de l'Emploi, de la Formation et des Sports
  
  Le sort de Dexia a été discuté à ... Washington (la Libre Belgique du 27 septembre2011). Il a été discuté entre Didier Reynders et François Baroin ainsi que les gouverneurs des deux banques centrales (Luc Coene et Christian Noyer) qui se sont vus en marge des réunions du FMI.
  
  Quelles ont été les question abordées ? Selon la presse, il s’agissait de :
  - scinder Dexia Banque Belgique (l'ex-Crédit communal) et Dexia France (Crédit local de France) et de vendre la banque turque Denizbank ;
  - placer les actifs à haut risque (à commencer par les obligations grecques...) dans une "bad bank", où, selon le "Trends" flamand, on place des crédits toxiques de plus de 100 milliards d'euros.
  
  En attendant, une série de décisions sont tombées. Les Régions, qui sont intervenues jadis pour sauver Dexia, sont-elles associées à ces discussions ? Dans l’affirmative, je souhaiterais connaître les réponses de Monsieur le Ministre aux questions suivantes soulevées par les milieux concernés.
  
  Quel est - en termes de garanties données - la couverture du risque que la Région wallonne a accepté de prendre à sa charge ? Et quel sera le risque que cette garantie doit être activée ?
  
  Quel est l’impact de cette opération sur le rating belge et en particulier sur le rating wallon ?

• Réponse du 07/05/2014

  • de ANTOINE André
  
  L’honorable Membre fait référence à des discussions au sujet de Dexia entre Didier Reynders et François Baroin, ainsi que les gouverneurs des banques centrales de France et de Belgique. Qu’il sache que la Wallonie n’a pas été impliquée dans les discussions relatives à la scission de Dexia Banque Belgique et Dexia France, ainsi qu’à la vente de la banque turque Denizbank.