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L'étude d'un système de veille sanitaire et économique dans le cadre des maladies infectieuses pouvant toucher le secteur agricole

  • Session : 2012-2013
  • Année : 2013
  • N° : 180 (2012-2013) 1

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  • Question écrite du 17/01/2013
    • de CASSART-MAILLEUX Caroline
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine

    En sa réponse à la question écrite n° 596 portant sur l’impact de la maladie de Schmallenberg, Monsieur le Ministre faisait part d’une réflexion relative à la mise en place d’un réseau, d’un observatoire, d’un système de veille sanitaire et économique (wallon, belge et même européen). Et d’ajouter que ce système était indispensable.

    Monsieur le Ministre peut-il préciser si cette réflexion est toujours à l’ordre du jour ? Qu’en est-il exactement ?

    Ce point est-il étudié à la fois pour la Wallonie, la Belgique, l’Europe ?

    Concrètement, où en est la réflexion wallonne ?

    Des contacts ont-ils été pris au niveau fédéral ainsi qu’avec la Région flamande afin d’avancer dans la réflexion au niveau belge ?

    D’un point de vue européen, la mise en place d’un système de veille sanitaire et économique a-t-elle été abordée par les instances européennes ? La Wallonie a-t-elle fait entendre son point de vue sur cette thématique ?

    Quel est l’objectif de Monsieur le Ministre face à ce système de veille sanitaire et économique ? Peut-il développer les grands axes de ce mécanisme qu’il entend défendre ?
  • Réponse du 06/02/2013
    • de DI ANTONIO Carlo

    Nous avons reçu une proposition pour concrétiser ce projet. L’ARSIA, le CER groupe et l’ULg proposaient de mettre en place ce système de veille économique/sanitaire/scientifiques relatif aux maladies économiques et émergentes en Wallonie.

    Le réseau de surveillance devait permettre de repérer et d’évaluer le plus tôt possible l’importance de certains agents pathogènes.

    MAIS, nous n’avons pas pu aboutir, car les relations avec l’AFSCA n’étaient pas suffisantes développées par ces acteurs et malgré le coût élevé du projet, nous n’avions pas d’assurance que le projet pourrait apporter des résultats et être un outil pérenne.