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L'actualisation des systèmes GPS

  • Session : 2012-2013
  • Année : 2013
  • N° : 365 (2012-2013) 1

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  • Question écrite du 25/03/2013
    • de JAMAR Hervé
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine

    Après avoir, à de nombreuses reprises, interrogé ses prédécesseurs, j'interpelle aujourd’hui Monsieur le Ministre au sujet de l’actualisation des systèmes de GPS.

    En effet, la Ville de Hannut a, en 2004-2005, changé le sens de circulation de plusieurs voiries communales.

    Cette décision a fait l’objet, à l’époque, de nouveaux arrêtés et règlements de police.

    Or les systèmes GPS n’ont toujours pas enregistré ces modifications ce qui pose de nombreux problèmes de circulation.

    De même, à propos du rond-point isolé du contournement…

    Apparemment, d’autres aberrations sont également reprises par les systèmes GPS comme la liaison Tihange-Tinlot qui n’est pas terminée. Interrogé par ma collègue Caroline Cassart à ce sujet, Monsieur le Ministre avait promis de demander à ses services de contacter les opérateurs GPS.

    Cette situation peut évidemment engendrer des soucis aux automobilistes voire, plus grave, des accidents.

    Monsieur le Ministre pourrait-il me préciser à qui incombe la responsabilité d’avertir les entreprises éditrices de GPS (de même pour les cartes routières) des modifications en matière de voiries, sens de circulation,… ?

    Existe-t-il un point de contact central au niveau régional, fédéral ou auprès de l’IBSR ?

    Sinon, et dans le cadre de la prochaine régionalisation, un tel point de contact n’est-il pas à envisager ?
  • Réponse du 10/04/2013
    • de DI ANTONIO Carlo

    Il a été demandé à la Direction générale opérationnelle de la mobilité et des voies hydrauliques de piloter un groupe de travail relatif aux échanges d’informations avec les éditeurs de logiciels GPS.

    Ce groupe de travail n’a malheureusement pas encore eu l’occasion de se réunir.

    Il n’existe pas de point de relais central entre les gestionnaires de voiries et les éditeurs de logiciels GPS, ce qui complique bien entendu le bon échange d’information. Un tel point relais constituerait une avancée a priori intéressante dont les modalités de concrétisation pourraient être examinées par le groupe de travail évoqué ci-avant.

    Enfin, la signalisation directionnelle doit toujours avoir priorité sur les informations transmises par le GPS.