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L'enquête européenne relative à la couverture et à l'utilisation des sols

  • Session : 2013-2014
  • Année : 2013
  • N° : 171 (2013-2014) 1

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  • Question écrite du 20/11/2013
    • de CASSART-MAILLEUX Caroline
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine

    Selon un communiqué de presse de Eurostat (25 octobre 2013), en 2012 les forêts et autres terres boisées occupaient environ 40 % de la superficie totale de l’UE, les sols cultivés un quart et les prairies un cinquième, tandis que les zones artificielles, telles que les bâtiments, les routes, les chemins de fer, couvraient 5 % de la superficie.

    Les données de la Belgique se répartissent comme suit :
    - 25 % de forêts et autres terres boisées ;
    - 28 % de sols cultivés ;
    - 32 % de prairies ;
    - 1 % d’eaux et de zones humides ;
    - 13 % de zones construites et autres zones artificielles.

    Concrètement, quelle est la répartition de ces zones en Région wallonne ?

    Le communiqué précise que ces données constituent la base des analyses spatiales et territoriales qui revêtent une importance grandissante pour la planification et la gestion de l’agriculture, des forêts, de l’eau et des zones urbaines, ainsi que pour la réduction de l’impact des catastrophes naturelles et des changements climatiques.

    Monsieur le Ministre peut-il préciser la manière dont ces données seront utilisées afin de répondre aux attentes et défis majeurs énumérés ci-dessus ? Cela se fait-il en collaboration avec son collègue en charge de l’Environnement ?
  • Réponse du 10/12/2013 | Annexe [PDF]
    • de DI ANTONIO Carlo

    La question est relative à des compétences du ministre de l’aménagement du territoire qui pourra amener des réponses précises quant à l’utilisation de ces données.

    La répartition des occupations du sol en Wallonie fait l’objet d’une fiche du tableau de bord de l’environnement dont est extraite la figure ci-annexée.

    En ce qui concerne l’agriculture, mon action porte principalement sur le maintien de la superficie agricole utile et l’usage productif des terres agricoles.

    Dans le cadre des travaux préparatoires du nouveau Schéma de développement de l´espace régional (SDER) actuellement en enquête publique, j’ai veillé à ce que le foncier agricole ne soit pas considéré uniquement comme une réserve foncière pour d’autres activités économiques mais bien comme une ressource à préserver.