La situation chaotique sur les routes la nuit du 23 au 24 janvier 2014

• Session : 2013-2014
• Année : 2014
• N° : 374 (2013-2014) 1

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• Question écrite du 06/02/2014

  • de GONZALEZ MOYANO Virginie
  • à DI ANTONIO Carlo, Ministre des Travaux publics, de l'Agriculture, de la Ruralité, de la Nature, de la Forêt et du Patrimoine
  
  J'aimerais revenir sur la situation chaotique du 24 janvier dernier. En effet, les conditions climatiques hivernales ont provoqué le chaos sur nos routes, alors que plusieurs organismes de prévention ou de sécurité routière surveillent en permanence le réseau.
  
  Que s'est-il passé ? Comment se fait-il que les routes wallonnes n'aient pas été salées suffisamment au cours de la nuit du 23 au 24 janvier alors que dès 1 heure du matin il gelait ?
  
  La Direction générale opérationnelle routes et bâtiments est pourtant chargée de la gestion du réseau routier et autoroutier wallon et a pour mission de mener des expertises techniques et d'assurer la sécurité et la gestion du trafic. Elle fait partie, avec le centre Perex, la police de la route et le centre régional de crise, de la Cellule d'action routière (CAR) qui, sur la base des prévisions atmosphériques établies par l'IRM et par la force aérienne (Météo Wing), peut activer l'un des trois systèmes de prévention, à savoir la vigilance renforcée, la préalerte et l'alerte.
  
  Comment se fait-il que tous ces moyens n'aient pas permis de mettre en place un service de salaison des routes dès le début du gel ? Cela aurait certainement évité la journée catastrophique du 24 janvier avec les conséquences que cela a engendrées : accidents mortels, chaos total sur la route, fermeture d'autoroutes.

• Réponse du 27/02/2014

  • de DI ANTONIO Carlo
  
  J'invite l'honorable membre à consulter le compte rendu de la séance de la Commission travaux publics du lundi 03 février dernier où j’ai répondu en détail à une question orale de M. Borsus sur le même sujet.