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Le site internet sur le covoiturage (projet Bodji)

  • Session : 2014-2015
  • Année : 2014
  • N° : 181 (2014-2015) 1

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  • Question écrite du 09/12/2014
    • de MAROY Olivier
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de l'Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports, des Aéroports et du Bien-être animal

    Le prédécesseur de Monsieur le Ministre, le ministre Henry, a lancé un appel d’offres pour la mise en place d’une plate-forme de covoiturage dynamique. Cette plateforme est encore en phase de test. J’ai quelques questions concernant cette plateforme.

    Combien cela a-t-il coûté à la Région ? Comment sont articulées les dépenses sur le site internet, sur l’application mobile IOS, sur l’application mobile Androïd, etc.

    Quelles sont les dépenses prévues à l’avenir dans les différents postes afin de lancer et gérer cette plateforme ? (publicité, maintenance, community management, etc.)

    Quels sont les premiers résultats récoltés en phase de test ? Nombre d’inscrits, nombre d’utilisateurs quotidiens, nombre de covoiturage déjà mis en place, etc.

    Quels sont les objectifs à court et moyen terme d’acquisition d’utilisateurs et, plus concrètement, de nombre de covoitureurs en Région wallonne ?

    Monsieur le Ministre va-t-il garder ce nom ? Que veut dire ce nom Bodji ? Que pense-t-il de ce nom ? Je n’y vois pas de référence avec le covoiturage. Je suis sceptique sur l’appropriation de ce nom par le grand public.
  • Réponse du 30/12/2014
    • de DI ANTONIO Carlo

    Il n’existe pas encore de chiffres d’utilisation du site car son utilisation se limite pour l’instant aux tests qui sont réalisés principalement par l’Administration.

    Le nom Bodji a été choisi par mon prédécesseur pour exprimer un lien avec l’identité wallonne et avec la mobilité (« Bodji », qui signifie « bouger » en wallon de Liège). Je souhaite cependant opter pour un nom qui, comme l'honorable membre le mentionne dans sa question, fasse davantage référence au covoiturage et permettre ainsi au grand public de s’approprier plus facilement le projet.