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L'état du réseau secondaire

  • Session : 2014-2015
  • Année : 2015
  • N° : 502 (2014-2015) 1

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  • Question écrite du 06/05/2015
    • de STOFFELS Edmund
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    Depuis des années, on annonce pour bientôt un relevé sur l’état du réseau secondaire des routes régionales.

    Chaque fois, on l’annonce pour bientôt, informant par la même occasion que l’on vient de se mettre d’accord sur les critères d’évaluation et de priorisation.

    Ne mettant pas en doute les paroles des uns et des autres ministres successifs, j’imagine que depuis qu’on l’annonce, un premier résultat doit exister sous forme – au moins – d’une liste reprenant les tronçons en catégorie a, b, c, d et e. Est-ce que je me réjouis trop vite ?

    Est-il possible que Monsieur le Ministre donne cette liste afin que l’on puisse la comparer avec ce qu’on observe sur le terrain ?
  • Réponse du 27/05/2015 | Annexe [PDF]
    • de PREVOT Maxime

    Concernant le relevé de l’état du réseau, je reprends les éléments que je fournissais à l’occasion de la question écrite numéro 354 relative à « l’entretien des routes et des autoroutes » à savoir : voir annexe.

    C’est sur base de ces constats que l’inventaire des besoins a été réalisé par ces services territoriaux et analysé en regard des résultats de mesures.
    Cet inventaire est en cours de comparaison en vue d’une priorisation qui mènera à l’établissement du plan Infrastructures.
    Comme je l’ai déjà indiqué, je reviendrai vers l'honorable membre afin de le présenter fin de cette année.

    Par ailleurs, mon administration vient d’acquérir un véhicule permettant de réaliser les relevés de l’état des voiries qui permettra outre les relevés de rugosité, d’orniérage et de planéité, d’assurer aussi des relevés de fissures et de nids de poule. Cet appareillage est en cours d’étalonnage et devrait être opérationnel au dernier trimestre de cette année.

    L’objectif est de couvrir le réseau structurant chaque année et le réseau non structurant tout les deux ans. L’évolution de l’état du réseau fera ainsi l’objet d’un suivi rapproché.