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Les difficultés de stationnement auprès des écoles de Gosselies

  • Session : 2015-2016
  • Année : 2015
  • N° : 119 (2015-2016) 1

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  • Question écrite du 21/10/2015
    • de IMANE Hicham
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    Depuis la rentrée scolaire, près de 4 000 élèves fréquentent les écoles concentrées autour du quartier formé par les rues Saint-Roch, Vandervelde et du Splinois, à Gosselies.
    Depuis, chaque matin et soir, c'est un chaos sans nom qui s'y déroule, les parents conduisant leurs enfants à l'école se regroupant, parfois au mépris des règles de circulation.
    Véhicules mal garés, formation de files, traversée sauvage des voies de circulation et risques d'accident sont légion. La situation s'envenime d'ailleurs tant pour les automobilistes que pour les riverains.

    Interpellé par mes soins sur ce sujet, l'échevin en charge des travaux à la Ville de Charleroi avoue être favorable à l'installation de bornes interdisant le stationnement aux points sensibles. Néanmoins, il ne peut agir seul, cette route étant régionale.

    Comme cela a déjà été fait à plusieurs reprises, j'interpelle donc Monsieur le Ministre sur ce point.

    Serait-il envisageable de placer des bornes ou plots interdisant le stationnement au carrefour entre la N582 et la rue Saint-Roch ?
  • Réponse du 05/11/2015
    • de PREVOT Maxime

    À la question de l'honorable membre, je lui réponds que, sur le principe, il est envisageable de placer des potelets pour interdire le stationnement au carrefour entre la RN 582 et la rue St-Roch et sur les trottoirs environnants.

    Cependant, certains trottoirs de ce carrefour sont très étroits, à peine 60 cm. Y implanter des potelets ne ferait qu'empirer la situation en les rendant inutilisables. La mobilité des piétons sur les trottoirs de la rue St-Roch, pourtant assez larges, est déjà restreinte par une série de potelets.

    Par conséquent, je propose que les services de mon administration (Direction des Routes de Charleroi) prennent contact avec les différents acteurs (zone de police, ville, services techniques, TEC) pour mener une réflexion plus large sur la situation de ce carrefour.