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Le site de l'ancienne goudronnerie Robert à Ransart

  • Session : 2015-2016
  • Année : 2016
  • N° : 1164 (2015-2016) 1

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  • Question écrite du 29/06/2016
    • de TROTTA Graziana
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal

    Le 30 octobre 2015 (question n°154 (2015-2016) 1), j'interrogeais Monsieur le Ministre au sujet du site de l'ancienne goudronnerie Robert à Ransart, fortement contaminé en hydrocarbures et en huiles minérales, et pour lequel la SPAQuE a élaboré un plan de réhabilitation il y a plusieurs années.

    Jusqu'à présent, les travaux de réhabilitation n'ont pu être entamés, du fait de contentieux opposant la Région wallonne et la société Hermans, propriétaire du site, comme il l'a détaillé dans sa réponse du 18 novembre.

    Ce dernier m'indiquait qu'au cours des derniers mois, son cabinet ainsi que celui du ministre-président avaient pris l'initiative de nouveaux contacts avec le propriétaire, en présence de la SPAQuE et de l'administration (DG03), afin de tenter de débloquer la situation. Il précisait qu'une décision avait été prise pour relancer une procédure d'expropriation de l'ensemble du site (décharge, ancienne friche industrielle et prairie en aval).

    Aujourd'hui, quel est l'état du dossier, des contacts et de la procédure d'expropriation ? Monsieur le Ministre peut-il faire le point précisément sur l'évolution éventuelle de la situation depuis sa réponse à ma précédente question, ainsi que sur les perspectives à court et moyen termes ?
  • Réponse du 22/07/2016
    • de DI ANTONIO Carlo

    Dans le cadre du dossier de la goudronnerie Robert à Ransart, une consultation juridique sur la question de l’expropriation de ce site a été réalisée.

    Un rapport identifiant les actions nécessaires afin de débloquer ce dossier a été établi par la SPAQuE avec l’aide d’un consultant juridique, concluant qu’une expropriation était nécessaire pour entamer toute réhabilitation.

    L’administration a cependant besoin de compléments d’information qui doivent être apportés par la SPAQuE.

    L’administration et la SPAQuE collaborent donc activement à l’aboutissement de ce dossier.