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La lutte contre le radicalisme

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2016
  • N° : 92 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 18/10/2016
    • de STOFFELS Edmund
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    La Communauté germanophone est aussi concernée par le radicalisme. Il s’agit de personnes d’origine belge, de retour sur le territoire après avoir été au service d’organisations terroristes comme l’État islamique.

    La stratégie de prévention de la Communauté germanophone est axée autour de 4 piliers (prévention, déradicalisation, coopération et communication) et concerne la période 2016-2020.

    La Communauté germanophone entend promouvoir un échange interne des bonnes pratiques entre tous les acteurs de première ligne, éducateurs, travailleurs sociaux, enseignants, imams, services de maintien de l’ordre.

    Suivant quel dispositif la Région wallonne organise-t-elle la prévention du radicalisme ?

    Serait-ce un exemple à suivre permettant de lutter activement et dans un sens préventif contre le radicalisme de toute sorte ?

    Est-il imaginable de mettre en place un dispositif de coopération entre les deux entités fédérées ?
  • Réponse du 07/11/2016
    • de PREVOT Maxime

    La Wallonie a effectivement développé un plan de lutte contre le radicalisme qui s’organise sur trois axes : la coordination, la prévention et la détection.

    Ce plan étant piloté par le Ministre-Président, j'invite l'honorable membre à l’interroger directement. Je ne doute pas qu’il y portera une attention particulière et qu’il y réservera la suite la plus opportune.