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Le plan intercommunal de mobilité et la RN 56

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2016
  • N° : 109 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 18/10/2016
    • de DENIS Jean-Pierre
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    En date du 15 juillet 2015, le Collège communal de Lens adressait un courrier à Monsieur le Ministre dans lequel il lui proposait le placement d'un feu intelligent au carrefour de la rue Amédée Gain et de la rue Vallaville, afin de sécuriser la RN 56.

    Dans un courrier du 25 septembre 2015, Monsieur le Ministre répondait avoir demandé que cette « demande de placement d'un feu intelligent soit abordée lors d'une prochaine Commission provinciale de sécurité routière (CPSR) afin d'aboutir au meilleur choix pour l'aménagement de ce carrefour ».

    La CPSR du 26 avril 2016 Dernier a effectivement abordé ce point et a décidé notamment de demander « à la DGO2 de réfléchir à l'élaboration d'un plan intercommunal rassemblant l'ensemble des AC [Administrations communales] concernées afin de dégager des pistes de réflexion sur la mobilité (N/S - A8/A7) qui pourrait désengorger la RN 56 ».

    Monsieur le Ministre peut-il nous dresser la liste des administrations communales concernées ?

    Comment la DGO2 compte-t-elle mener à bien les travaux concernant le plan intercommunal de mobilité ? Une proposition de sa part sera présentée aux AC ou compte-t-elle en premier lieu avoir les positions et avis de celles-ci ?

    En réplique à une question parlementaire du 7 octobre 2014, une collègue députée et bourgmestre d'une commune traversée par la RN 56 rétorquait ne pas souhaiter investir et dépenser de l'argent en ce qui concerne un Plan intercommunal de mobilité. Des AC risquent d'être réticentes à un plan intercommunal. Comment dès lors favoriser le contact, le dialogue et la coordination entre les différentes AC ?
  • Réponse du 26/10/2016
    • de PREVOT Maxime

    J'informe l'honorable membre qu’un plan intercommunal de mobilité ne peut être élaboré que sur initiative communale et non régionale, même si l’ensemble des services régionaux concernés y participe activement.

    Par ailleurs, la matière visée sort du champ de mes compétences, car elle concerne principalement la compétence « mobilité ».

    Je l'invite à interroger mon collègue du Gouvernement wallon Carlo DI ANTONIO, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du territoire, de la Mobilité et des Transports, des Aéroports et du Bien-être animal. Je ne doute pas qu’il y portera une attention particulière et qu’il y réservera la suite la plus opportune.