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Le Thalys

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2016
  • N° : 360 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 20/12/2016
    • de STOFFELS Edmund
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    En février 2015, le Kern prenait la décision de suspendre le Thalys. Aujourd’hui, la Wallonie revendique le rétablissement immédiat du Thalys, mais aussi l’ajout d’un deuxième Thalys par jour.

    Où en est-on ? Y a-t-il une ouverture du côté fédéral par rapport aux demandes de la Région wallonne ?

    C'est une question qui se pose après avoir entendu qu’une liaison ferroviaire circule toutes les deux heures – avec arrêt à Liège – entre l’Allemagne et la Belgique – ce qui est une avancée appréciable, mais qui ne peut pas handicaper d’autres relations ferroviaires à grande vitesse, ou alors on risque que, tôt ou tard, la nouvelle relation connaisse un sort comparable à celui du Thalys.
  • Réponse du 27/12/2016
    • de PREVOT Maxime

    Ma position (conforme à celle du Gouvernement wallon) concernant la problématique du Thalys wallon a été largement développée au travers de mes 11 interpellations orales depuis 2015 et mes QE portant les numéros 257 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 24/02/2015 ), 302 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 05/03/2015), 338 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 10/03/2015), 373 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 17/03/2015), 457 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 11/05/2015), 408 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 25/01/2016)  et 360 (déposée sur la plateforme du Parlement de Wallonie le 05/01/2016).

    Lors des discussions qui ont eu lieu lors de la concertation entre le Fédéral et les Régions à propos du Plan de transport 2017, la délégation wallonne a toujours défendu le point de vue que le Thalys wallon est et reste une mission de service public, et qu’à ce titre , elle doit être remise en service .

    Le Fédéral refuse encore et toujours cette remise en service parce que l’opérateur ferroviaire qui devrait la réaliser n’est plus la SNCB. Cet argument n’est pas convainquant. Dès lors, la Région wallonne maintient sa revendication.