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Les travaux de l'avenue Pastur à Mont-sur-Marchienne

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 481 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 30/01/2017
    • de KILIC Serdar
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    Il me revient que des travaux assez conséquents seront bientôt menés sur l'artère principale de Mont-sur-Marchienne, l'avenue Pastur, qui relie le centre de Charleroi à l'entrée du grand ring et qui rejoint, plus loin, la route de Beaumont, porte de la France.

    Je n'apprendrais rien à Monsieur le Ministre en lui signalant que Charleroi est sujet à de nombreux chantiers d'aménagement. Mais la porte sud risque, avec ces travaux, d'être la plus encombrée. En effet, la porte de France, sur le petit ring, va bientôt être fermée. Celle de la Vilette, qui mène à l'avenue Pastur, est déjà inaccessible. Si, maintenant, on ajoute de gros travaux sur cette avenue, Mont-sur-Marchienne va devenir un cauchemar pour les automobilistes

    Il faut également ajouter que cette grande chaussée est l'artère commerçante de cette commune. Elle constitue d'ailleurs l'une des plus importantes si on retire celles de Charleroi Ville. Les commerçants sont eux aussi fort inquiets quant à leur avenir proche.

    Monsieur le Ministre pourrait-il me dire ce qu'il en est de ce projet ? A-t-il à nous présenter des plans ou des maquettes qui pourront nous éclairer ? Si ce projet est réalisé, quel en sera le coût ? Et bien plus important encore, quels en seront la durée, le phasage et l'échéancier ?
  • Réponse du 15/02/2017
    • de PREVOT Maxime

    Les travaux concernant la N53 de l’Avenue Pastur font partie d’un projet de réalisation d’une ligne de bus à haut niveau de service sur la N53 et la N5, dont l’étude est actuellement menée par la SRWT.

    À ce stade, la phase 2 de cette réflexion vise à établir un projet cohérent avec les différents partenaires (TEC, SRWT, SPW, Ville de Charleroi). Les premières esquisses ont été ébauchées, mais ne sont pas encore validées.

    Ce projet est repris au Plan Infrastructures 2016-2019 à hauteur de 2.500.000 euros pour la part à charge des crédits « travaux publics », de mon ressort.

    L’année 2017 sera consacrée aux études visant à l’introduction d’un permis d’urbanisme. Il n’y aura donc pas de travaux en 2017.

    Au stade actuel de l’étude, il n’est pas encore possible de définir un phasage, ni une planification des travaux.