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La fabrication additive au sein de la Société de transport en commun (TEC)

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 470 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 10/02/2017
    • de LAMBELIN Anne
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal

    Depuis plusieurs années, la révolution incarnée par la fabrication additive, ou impression 3D, est en marche.

    Pour rappel, l'impression tridimensionnelle permet de produire un objet réel en utilisant un programme de conception sur ordinateur. Le fichier 3D ainsi obtenu est envoyé vers un logiciel spécifique qui le découpe en tranches et l'envoie à l'imprimante qui dépose ou solidifie de la matière couche par couche jusqu'à obtenir la pièce finale.

    Il y a quelques mois, la Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB) s’est procuré une imprimante permettant la conception 3D. Utilisée dans les ateliers du dépôt Delta, elle permet notamment de reproduire des prototypes de pièce de rechange pour le métro. Un gain de temps, et d’argent, selon la société de transports, mais, vu le temps nécessaire à l’impression, son utilisation reste aujourd’hui limitée à des tâches purement exceptionnelles.

    Du côté de la STIB, on confirme qu’il sera possible d’affecter l’imprimante à d’autres usages dans le futur. De plus, la Société vise à acquérir d’autres imprimantes 3D.

    La Société des transport en commun (TEC), envisage-t-elle également d'acquérir de telles imprimantes ? Le Gouvernement wallon prévoit-il, à l’instar de la Région bruxelloise, des budgets pour ces nouvelles technologies ?
  • Réponse du 22/02/2017
    • de DI ANTONIO Carlo

    Le Groupe TEC possède actuellement deux imprimantes 3D. Elles sont dédiées à la production de pièces d’équipements embarqués dont l’approvisionnement est difficile.

    L’achat de deux autres machines est en projet.

    Aucun financement spécifique n’est prévu pour ce type d’équipements.