à MARCOURT Jean-Claude, Ministre de l'Economie, de l'Industrie, de l'Innovation et du Numérique
"Dans le paysage wallon des start-up, nombre d’initiatives émanent des autorités et se déploient grâce aux fonds publics. Cela ne plaît pas forcément à tout le monde." (Trends.be). "N’est-ce pas donner de l’argent à quelques jeunes entrepreneurs pour s’occuper, alors qu’on sait que la plupart des projets vont mourir ?" , glisse l’un des opposants à ce système. "Le capital à risque, c’est le boulot des privés".
Mais pour Olivier Vanderijst (SRIW), cela participe à "créer un climat propice à l’entrepreneuriat". "On investit dans le domaine des biotechs qui constitue aujourd’hui un tissu plus robuste", détaille-t-il. "Le numérique est aujourd’hui moins solide et moins développé, mais le pari est de parvenir à consolider ce secteur et d’y investir davantage d’ici quelques années.".
Malgré les meilleures intentions, il parait donc que les montants réservés pour faire démarrer les start-up sont loin d’être épuisés. Monsieur le Ministre confirme-t-il ? L’argent de trop va-t-il permettre à constituer une réserve pour des projets de plus grande envergure ? Quels sont les secteurs qui font le plus appel au soutien public ?
Réponse du 28/07/2017
de STOFFELS Edmund
Pas de réponse du Ministre questionné (démission du Gouvernement)