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Les montants réservés au démarrage des "start-up"

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 219 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 01/03/2017
    • de STOFFELS Edmund
    • à MARCOURT Jean-Claude, Ministre de l'Economie, de l'Industrie, de l'Innovation et du Numérique

    "Dans le paysage wallon des start-up, nombre d’initiatives émanent des autorités et se déploient grâce aux fonds publics. Cela ne plaît pas forcément à tout le monde." (Trends.be). "N’est-ce pas donner de l’argent à quelques jeunes entrepreneurs pour s’occuper, alors qu’on sait que la plupart des projets vont mourir ?" , glisse l’un des opposants à ce système. "Le capital à risque, c’est le boulot des privés".

    Mais pour Olivier Vanderijst (SRIW), cela participe à "créer un climat propice à l’entrepreneuriat". "On investit dans le domaine des biotechs qui constitue aujourd’hui un tissu plus robuste", détaille-t-il. "Le numérique est aujourd’hui moins solide et moins développé, mais le pari est de parvenir à consolider ce secteur et d’y investir davantage d’ici quelques années.".

    Malgré les meilleures intentions, il parait donc que les montants réservés pour faire démarrer les start-up sont loin d’être épuisés. Monsieur le Ministre confirme-t-il ? L’argent de trop va-t-il permettre à constituer une réserve pour des projets de plus grande envergure ? Quels sont les secteurs qui font le plus appel au soutien public ?
  • Réponse du 28/07/2017
    • de STOFFELS Edmund

    Pas de réponse du Ministre questionné (démission du Gouvernement)