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La N391

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 628 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 06/03/2017
    • de DURENNE Véronique
    • à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine

    Très récemment il m’a été rapporté par des riverains, mais également par les médias, la dégradation de la N391, qui fait la liaison entre Courtrai et Celles et plus particulièrement à l’entrée du village de Celles en venant de la Flandre.

    Ces dégradations importantes et dangereuses tant pour les usagers que pour les riverains seraient, apparemment, dues à deux facteurs. Premièrement, la vitesse semble être en cause malgré les aménagements et ilots censés la réduire. Deuxièmement, la forte fréquentation de cette route qui est un accès à la Flandre, ou à la Wallonie.

    Ces dégradations et les aménagements ont déjà causé des accidents, de même que les riverains retrouvent des morceaux de ces aménagements dans leur propriété.
    C’est évidemment alarmant.
    Monsieur le Ministre a-t-il été prévenu de la dégradation de cette route ? Des analyses peuvent-elles être effectuées ? La sécurité des usagers et des riverains est mise à mal, existe-t-il dès lors une procédure rapide pour engager les réparations nécessaires ?

    Cette route a été rénovée il y a maintenant 10 ans, à l’époque il s’agissait d’une route provinciale – elle en porte d’ailleurs toujours le nom – et depuis, c’est une route régionale.
    Des investissements sont-ils prévus, et ce afin, au moins, de répondre rapidement aux deux facteurs évoqués ci-dessus et à terme, à la dégradation de la chaussée elle-même  ?
  • Réponse du 22/03/2017
    • de PREVOT Maxime

    La période actuelle, avec l’apparition des jours plus cléments, voit également surgir les avaries résultant du service d’hiver. La N391 fait partie des routes ayant fortement souffert de la situation hivernale.
     
    Des interventions d’urgence sont programmées pour pallier aux manquements les plus importants, notamment en matière de sécurité, en attendant une réfection plus en profondeur de cette ancienne voirie provinciale, reprise depuis 2015 par la Wallonie.
     
    Une telle réhabilitation ne pourra être envisagée qu’en fonction d’une priorisation globale des besoins et des moyens budgétaires disponibles, lors des prochains arbitrages budgétaires.