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Les lignes parcourues par les véhicules des TEC

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 562 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 06/03/2017
    • de DE BUE Valérie
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal

    Monsieur le Ministre pourrait-il me fournir de la longueur des voiries parcourues par les services du TEC dans chaque province depuis 2010?

    Pourrait-il également m’indiquer l’évolution du nombre d’arrêts sur la même période  ?

    Dans le cas où ces chiffres auraient diminué, pourrait-il m’indiquer pour chaque TEC où les coupes ont-elles eu lieu ?
  • Réponse du 22/03/2017
    • de DI ANTONIO Carlo

    Ni la longueur de voiries empruntées, ni le nombre d’arrêts n’ont subi d’évolutions significatives durant les dernières années.

    Pour le TEC Brabant Wallon, la longueur de voiries est de 1440 km et le nombre d’arrêts est de 1556, en 2016; contre respectivement 1721 km et 1738 arrêts en 2010.
    En ce qui concerne le TEC Charleroi, il s’agit de 1147 km de voiries et 1568 arrêts en 2016, par rapport à 1104 km et 3717 arrêts en 2010.
    Les données relatives au TEC Hainaut sont, en 2016, respectivement 2048 km de voiries et 2907 arrêts, alors qu'elles étaient de 2533 km et 2910 arrêts en 2010.
    Le TEC Liège Verviers comptabilise, quant à lui, 3178 km de voiries et 4722 arrêts contre 4181 km et 4854 arrêts en 2010.
    Enfin, il s’agit de 6322 km de voiries et 5305 arrêts pour le TEC Namur-Luxembourg contre 8675 km et 5744 arrêts en 2010.

    Pour les 5 TEC, les réductions observées dans ces statistiques ne sont pas dues à une diminution de services, mais bien à une amélioration de la méthodologie et des outils de mesure.

    Les doublons de données ont été supprimés suite à la centralisation des bases de données et les mesures ont été rectifiées suite aux nouveaux outils de mesure (cartographie numérique) et aux mises à jour progressives des versions de cartographie.

    Dès lors, l'évolution dont il est fait part n'est pas représentative d'une tendance réelle sur le terrain, mais bien d'une simple évolution technique.