à MARCOURT Jean-Claude, Ministre de l'Economie, de l'Industrie, de l'Innovation et du Numérique
J'interrogeais Monsieur le Ministre lors de la séance du 7 mars 2017, sur l’utilisation du Building Information Modeling (BIM) par les entreprises wallonnes de la construction.
Dans ce cadre, il a précisé : « Une session de sensibilisation et de démonstration des outils sera organisée à travers toute la Wallonie, de la mi-avril à la fin mai 2017. Celle-ci abordera, sous une forme spécifique à chaque taille d’entreprise, la problématique de l’adoption du BIM […]. Au niveau de l’accompagnement, les entreprises participantes se verront proposer de nouvelles possibilités offertes par la récente réforme des aides de premier niveau ».
Monsieur le Ministre peut-il préciser ce dernier propos ?
La réforme des aides de premier niveau inclut un « chèque à la transformation digitale », qui remplace les aides e-business et RENTIC. L’objectif est d’aider les entreprises à accroître leur maturité numérique.
Dans ce cadre, qu’en est-il de la problématique particulière du BIM ?
Quelles sont - pour reprendre ses termes - ces « nouvelles possibilités offertes par la récente réforme des aides de premier niveau » en ce qui concerne le BIM ?
Quels sont exactement les couts admissibles entrant en compte dans ce portefeuille intégré, en ce qui concerne la problématique du BIM ?
Vise-t-on uniquement des couts pour la formation au BIM ou également l’acquisition d’un quelconque matériel ? Par ailleurs, il évoque dans ses propos que les entreprises « participantes » se verront proposer de nouvelles possibilités suite à la réforme des aides de premier niveau. Cela veut-il dire que seules les entreprises participant à la session de sensibilisation seront concernées par les aides à disposition ?
Réponse du 28/07/2017
de SIMONET Marie-Dominique
Pas de réponse du Ministre questionné (démission du Gouvernement)