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Les dossiers abordés lors du Conseil des ministres européen du 11 mai 2017 et la position qui y sera soutenue

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 417 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 25/04/2017
    • de RYCKMANS Hélène
    • à COLLIN René, Ministre de l’Agriculture, de la Nature, de la Ruralité, du Tourisme et des Aéroports, délégué à la Représentation à la Grande Région

    Le 11 mai 2017 aura lieu un Conseil des Ministres européen, formation « Agriculture et pêche ». Je n'ignore pas que les ordres du jour sont disponibles sur le site du Conseil, mais Monsieur le Ministre peut-il néanmoins faire part des dossiers à l’ordre du jour et de son analyse de ceux-ci ?

    L'Europe a une grande influence sur notre agriculture, et une implication forte de notre région est importante dans ce cadre. Par ailleurs, il est intéressant pour le débat démocratique de lire la position du Gouvernement sur ces dossiers.

    Quelle sera la position défendue par la Belgique à cette occasion ?

    Quelle a été la position défendue par la Wallonie lors de la consultation intrabelge préparatoire ?

    Il nous paraît intéressant et pertinent également d'avoir son analyse de la position belge, et des éventuelles divergences au sein du Conseil. Ainsi que des éventuelles divergences ou insistances des entités qui composent notre pays, et du compromis qui aurait été trouvé le cas échéant, car ces entités ont parfois des intérêts différents.
  • Réponse du 17/05/2017
    • de COLLIN René

    L’ordre du jour du Conseil Agriculture et Pêche qui s’est réuni le 11 mai 2017 a abordé principalement des points pêche. Le seul point agricole qui a été abordé sous point divers à la demande de la délégation polonaise concernait « la peste porcine africaine et l’état de la situation ». La thématique relève d’ailleurs de la compétence du Gouvernement fédéral.

    Dans son explication, la Commission a signalé que des réunions régulières étaient organisées au niveau ministériel avec les pays tiers voisins et que des financements pour des projets pilotes sont prévus avec l’Ukraine (250.000 euros) et la Moldavie (150.000 euros).

    La Belgique, comme d’autres États membres, a soutenu la demande de la Pologne, car il est nécessaire de continuer de lutter contre cette maladie afin d’empêcher que le virus ne se répande davantage dans l’Union européenne. Il faut maintenir une collaboration et une coordination suffisantes avec les États membres et les pays tiers concernés et mettre à disposition les moyens nécessaires. On ne peut se permettre l’apparition de nouveaux foyers infectieux alors que nous cherchons à accéder à nouveau au marché russe.