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Le coût du vandalisme dans les TEC

  • Session : 2016-2017
  • Année : 2017
  • N° : 806 (2016-2017) 1

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  • Question écrite du 09/05/2017
    • de DE BUE Valérie
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal

    Combien coûte le vandalisme au TEC chaque année ?

    Ce chiffre est-il en augmentation ?

    Comment se déroule le nettoyage ou le remplacement des lieux ou du matériel sinistrés ?
  • Réponse du 31/05/2017
    • de DI ANTONIO Carlo

    Les faits de vandalisme pour le Groupe TEC peuvent se classer en trois catégories : 
     
    Le vandalisme à l’arrêt, sur et dans le matériel roulant (vitres griffées, tags, sièges lacérés) et enfin dans les infrastructures (espace de vente, métro à Charleroi).
     
    Concernant le vandalisme à l’arrêt, le matériel urbain (arrêts, mobiliers,...) est traité par le gestionnaire désigné par la ville et le Groupe TEC n’est pas concerné. Il n’y a pas d’impact financier.
     
    D’une manière générale, les actes de vandalisme dans les bus (tissu déchiré, sièges cassés, graffitis…) ont tendance à diminuer. 
    Le coût est estimé à 10.000 euros/an/TEC pour la réparation ou le remplacement de sièges et à 4.000 euros/an/TEC pour les graffitis.
    Ces chiffres ne sont pas en augmentation.
     
    Enfin, le vandalisme dans les infrastructures concerne essentiellement le TEC Charleroi qui exploite le métro.

    Au niveau des installations fixes (stations métro) le coût annuel est de : +/- 200 000 euros/an (graffiti, vitrages cassés, éléments dégradés, nettoyage…).

    Ce coût est en baisse, car les rénovations de stations ont leur impact positif : choix des matériaux, équipements et respect des nouvelles installations.