à PREVOT Maxime, Ministre des Travaux publics, de la Santé, de l'Action sociale et du Patrimoine
Le Gouvernement wallon s’était engagé dans sa Déclaration de politique régionale 2014-2019, que lors de chaque réaménagement de voirie, il prendrait automatiquement en compte le vélo, le piéton, et les personnes à mobilité réduite.
Malheureusement, on constate qu’en 2016, l’ouverture des nouvelles routes aux cyclistes est moins bonne qu’en 2015.
En effet en 2015, 72 % des chantiers étaient positifs pour le vélo contre seulement 55 % en 2016.
Pour la GRACQ, sur les routes régionales, les voitures circulent au minimum à 50 km/h, il faut donc au moins un marquage au sol à défaut d’une piste cyclable.
D’après ce que l’on a pu découvrir dans la presse, l’année 2016 serait donc une année de recul en matière de sécurité routière pour les cyclistes.
Comment Monsieur le Ministre justifie-t-il une politique contradictoire par rapport à la DPR 2014-2019 ?
Est-ce qu'au moment, où les routes sont mises en chantier, ses directions territoriales consultent les clubs cyclistes, les communes, les zones de police sur cette question ?
Quel est, par kilomètre, le surcoût d’une route si on intègre cet aspect dans la conception et la réalisation du chantier ?
Réponse du 28/07/2017
de PREVOT Maxime
J’ai développé une réponse sur le même sujet en commission du 13 juin dernier. J'invite l'honorable membre par conséquent à consulter le compte-rendu intégral de cette commission.