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La place de Wallangues dans l'offre de formation linguistique

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2017
  • N° : 74 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 23/10/2017
    • de KAPOMPOLE Joëlle
    • à JEHOLET Pierre-Yves, Ministre de l'Economie, de l’Industrie, de la Recherche, de l’Innovation, du Numérique, de l’Emploi et de la Formation

    Afin de permettre aux Wallons et Wallonnes un meilleur accès au travail, de favoriser leur flexibilité et leur ouverture au monde, nous avions développé un système d’apprentissage d’une autre langue via Internet. Wallangues a donc connu un bon développement et reste accessible à de très nombreux citoyens.

    J’aimerais cependant aborder avec Monsieur le Ministre les conditions nécessaires pour accéder à la formation via Wallangues.

    En effet, de nombreuses écoles de langues aimeraient développer ce secteur en travaillant notamment par vidéoconférences.
     
    Quelles sont donc les conditions nécessaires pour y être formateurs ?

    Quelles synergies le programme Wallangues a-t-il mises en place avec les écoles de langues privées ?
     
    Comment s’assurer de l’absence de concurrence ?
  • Réponse du 17/11/2017
    • de JEHOLET Pierre-Yves

    Actuellement, tous les Wallons âgés de 18 ans peuvent créer un compte Wallangues et accéder à la plate-forme ainsi qu’à toutes les fonctionnalités telles que Speaky (discussion en ligne avec des native speakers) et aux activités du « Wallangues tours » comme les tables de conversation...

    Seuls les opérateurs de formation professionnelle de la Wallonie (IFAPME et FOREm) ont des accès spécifiques pour leurs formateurs internes au module de coaching et de suivi des apprenants en ligne greffé sur la plateforme. Ces accès leur permettent l’utilisation spécifique de la plateforme dans le cadre des formations linguistiques organisées en « blended learning ». Des pourparlers ont été menés avec la Promotion sociale pour leur ouvrir également un accès, mais aucune convention n’a pas pu être finalisée à ce jour. Des contacts seront relancés.

    En ce qui concerne les écoles de langue privées, aucune demande ne nous est parvenue à ce jour. Cependant des accords d’utilisation pourraient être envisagés si des besoins sont exprimés en ce sens.