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Le signalement auprès de la Direction générale des routes des zones problématiques pour les usagers de deux-roues

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2017
  • N° : 238 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 26/10/2017
    • de LECERF Patrick
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings

    Toute personne qui constate sur le réseau régional un nid-de-poule peut en informer la Direction générale des routes (DGO1).

    Par ailleurs, je sais que la convention qui unit la Région wallonne et la Fédération Belge des Motards en Colère et Concernés (FBMC) prévoit entre autres, que cette dernière, signale les zones jugées comme problématiques pour les usagers de deux-roues motorisés sur le réseau régional à la DGO1.

    En 2016, Monsieur le Ministre peut-il m’indiquer combien de fiches de signalement de dangers ont été transmises auprès de la Direction générale des routes et combien ont été transmises, plus particulièrement, par la FBMC ?

    Quelles suites ont été données aux signalements reçus par la Direction générale des routes ?

    Au regard de ces chiffres quelles conclusions tire-t-il quant à l’efficacité de ce système de signalement au sein de la DGO1 ?
  • Réponse du 20/11/2017
    • de DI ANTONIO Carlo

    Un courrier a été envoyé en date du 26 avril 2016 aux associations pour leur expliquer la procédure à suivre pour signaler un danger.

    L’administration a reçu 11 fiches de signalement, dont 7 fiches de la FBMC en 2016.
    Les signalements recevables ont fait ou feront l’objet d’une intervention, en fonction du type de signalement selon qu’il concerne l’entretien courant ou une intervention plus lourde.

    Ces signalements viennent compléter ou sont déjà couverts par les interventions systématiques réalisées par les services de l’administration.

    Par ailleurs, ces signalements pourront être intégrés à l’avenir dans un système plus général, en cours de test, utilisant des applications informatiques (via smartphone par exemple), lesquels seront accessibles, d’une part aux agents de l’administration et, d’autre part, aux usagers.