/

Le climat social au sein du Groupe TEC

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2017
  • N° : 410 (2017-2018) 1

2 élément(s) trouvé(s).

  • Question écrite du 28/11/2017
    • de GERADON Déborah
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings

    Depuis l'adoption de la DPR, le ton s'est durci entre les représentants des travailleurs des TEC et le Gouvernement.

    Une majorité s'est dégagée au Parlement pour voter un texte sur le service minimum et les sanctions pour les participants aux grèves sauvages. Quand et comment Monsieur le Ministre compte-t-il implémenter ces dispositions ? Qui va être chargé de négocier leur mise en œuvre avec les organisations syndicales ?

    Quel est, aujourd'hui, l'état du dialogue social au sein du Groupe TEC ?

    Depuis la mise en place du système de négociation Amédis, à combien de grèves sectorielles le Groupe a-t-il dû faire face ?
  • Réponse du 18/12/2017 | Annexe [PDF]
    • de DI ANTONIO Carlo

    Comme prévu par le décret récemment adopté, c’est au travers de la mise en œuvre du prochain contrat de service public que les modalités d’organisation visant à assurer la continuité du service seront précisées.

    Le modèle de négociations spécifique au groupe SRWT-TEC, AMéDiS acronyme d’Amélioration du dialogue social, sera le lieu naturel de négociation de l’employeur avec les organisations syndicales.

    En annexe, les statistiques demandées pour les années 2011 à 2016 :
    Les chiffres 2017 ne sont pas encore disponibles.

    On peut constater que le nombre de grèves sectorielles est en constante diminution depuis 2012. De plus, le nombre de jours est à nuancer : il est calculé par addition des heures, ce qui explique les décimales, et représente les diverses actions syndicales constatées, lesquelles sont souvent (c’est le cas en 2016 par exemple) des actions n’impactant qu’un seul dépôt ou service technique, et la plupart du temps de manière limitée ; il ne s’agit donc pas de jours ayant touché l’ensemble du réseau wallon.

    Enfin, à titre personnel, j’ai souhaité rencontrer les organisations syndicales pour débattre avec elles des réformes en cours.