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Les espaces de coworking en zone rurale

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2017
  • N° : 193 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 13/12/2017
    • de ARENS Josy
    • à COLLIN René, Ministre de l'Agriculture, de la Nature, de la Forêt, de la Ruralité, du Tourisme, du Patrimoine et délégué à la Grande Région

    Ce 7 décembre, Monsieur le Ministre a présenté les 13 projets d’espaces de coworking en zone rurale qui ont été retenus suite à l’appel à projets qu'il avait lancé. Grâce à l’enveloppe, de 1.250.000 euros, qu'il a pu débloquer, ces espaces de travail, jusqu’alors cantonnés dans les villes, pourront se déployer dans les zones rurales permettant d’y développer l’économie numérique et de réduire également la fracture numérique entre zones urbaines et zones rurales.

    Suite à l’appel à projets, 28 dossiers avaient été introduits et un seul a été écarté.

    Vu le succès rencontré et le nombre de projets qui n’ont pu être retenus cette fois, Monsieur le Ministre envisage-t-il de débloquer une nouvelle enveloppe pour poursuivre cette politique innovante et importante pour permettre à nos zones rurales de conserver toute leur attractivité dans une économie de plus en plus connectée ?

    Dans l’affirmative, quand pourrait avoir lieu ce nouvel appel à projets ?

    Les projets non retenus cette fois devront-ils de nouveau postuler ou seront-ils d’office retenus ?

  • Réponse du 27/12/2017
    • de COLLIN René

    Le succès de cet appel à projets a en effet été au rendez-vous, avec 28 dossiers déposés et 13 projets sélectionnés.

    Il est cependant trop tôt pour déjà envisager un nouvel appel à projets.

    Il me parait en effet utile et nécessaire de concrétiser ces 13 projets innovants, d’en évaluer le fonctionnement, avant de réfléchir à une éventuelle relance vers les communes, intercommunales et associations actives en économie rurale.

    Une telle décision pourrait, par exemple, être prise après analyse de l’évaluation à mi-parcours des projets. Cette évaluation est prévue, sur base notamment d’un rapport intermédiaire, 18 mois après la notification de la subvention.