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La sortie de crise au sein du Groupe TEC

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2017
  • N° : 503 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 15/12/2017
    • de HAZEE Stéphane
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings

    Le Gouvernement a annoncé la volonté de fusionner la SRWT et les TEC.

    Le Gouvernement a également annoncé la volonté d'organiser un service minimum au sein du Groupe TEC à travers le prochain contrat de gestion.

    Ces annonces suscitent manifestement un certain nombre de contestations.

    Dans le chef d'une partie du personnel d'une part, puisque trois jours de grève ont été annoncés par la CGSP. Mais également dans le chef de la direction du Groupe d'autre part.

    Quelles sont les initiatives de Monsieur le Ministre ?

    Comment entend-il rétablir un climat qui permette de ramener la paix sociale et de construire l'avenir pour le Groupe TEC ?
  • Réponse du 22/12/2017
    • de DI ANTONIO Carlo

    Le 4 décembre, le secrétaire interrégional wallon de la CGSP a déposé un préavis de grève de 72 h pour les journées des 20,21 et 22 décembre 2017.
    Le syndicat socialiste avait annoncé qu’il couvrirait toutes les actions qui se dérouleraient lors de ces journées de grève.
     
    Pour rappel, j’ai rencontré les 8 et 14 novembre 2017 les responsables syndicaux de la CSC et de la CGSLB tandis que le syndicat socialiste Tram-Bus-Métro avait refusé la proposition de rencontre et j’ai à nouveau relancé une invitation au dialogue avec les trois organisations syndicales et ai rencontré ce lundi 11 décembre les responsables de ces trois organisations.

    Il est ressorti de ces rencontres que le dialogue reste possible.
    En effet, la sous-commission paritaire s’est réunie ce 12 décembre est a permis de suspendre le préavis de grève pour les 20,21 et 22 décembre.

    La volonté du Gouvernement wallon traduite dans l’avant-projet de décret fusionnant les cinq TEC n’est pas de vouloir privatiser les transports en commun wallons.

    L’article premier de cet avant-projet de décret réaffirme en effet, le caractère public de la société puisqu’il s’agit de conserver une personne morale de droit public.

    Ce projet de fusion est à l’évidence synonyme d’une réduction sévère du nombre d’administrateurs (de 85 à 15).