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Les conséquences de l'affaire VeViBa sur l'image de la Wallonie

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2018
  • N° : 445 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 09/05/2018
    • de STOFFELS Edmund
    • à JEHOLET Pierre-Yves, Ministre de l'Economie, de l’Industrie, de la Recherche, de l’Innovation, du Numérique, de l’Emploi et de la Formation
    L’affaire VeViBa a éclaté quelques semaines après une mission économique que l’entreprise a effectuée en Chine afin de pénétrer le marché, à quelques jours de finaliser un contrat d’exclusivité avec Delhaize et de la reprise de participation dans une autre société.

    Y a-t-il une coresponsabilité des grandes surfaces dans l’affaire VeViBa, dans le sens ou ce secteur doit-être lui-même vigilant par rapport à la marchandise qu’il offre aux clients, chaque composante de la filière ayant un devoir de qualité ?

    Faute de quoi on ne peut pas parler de filière cohérente, mais morcelée en unités sans aucun lien des uns par rapport aux autres ?

    Est-ce que ce scandale risque d’entacher l’image de la Wallonie dont le commerce extérieur pourrait en payer les pots cassés ?

    Quels sont les échos que donne à Monsieur le Ministre le réseau mondial des agents de l’AWEx ?
  • Réponse du 04/06/2018
    • de JEHOLET Pierre-Yves
    L’autorité de contrôle est l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire. Comme son nom l’indique, les contrôles de l’AFSCA couvrent l’ensemble de la chaîne alimentaire. Les enseignes de grande distribution sont libres d’effectuer les audits de leurs fournisseurs qu’elles jugent utiles dans la conduite de leurs affaires.

    Les répercussions globales sur l’image de Wallonie au niveau du commerce extérieur sont maîtrisées. L’écho médiatique n’a que très peu dépassé la Belgique.