La propreté publique et la gestion efficace des déchets
Session : 2017-2018
Année : 2018
N° : 1407 (2017-2018) 1
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Question écrite du 19/06/2018
de LECERF Patrick
à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings
Les objectifs d’amélioration de la propreté publique et de gestion efficace des déchets font partie de la déclaration de politique régionale du nouveau Gouvernement wallon.
Pour les rencontrer, le Département du sol et des déchets de la DGO3 a confié à un bureau d’étude le soin de réaliser une étude destinée à évaluer, à l’échelle régionale, la quantité et le coût de gestion des déchets sauvages et des dépôts clandestins.
Dans sa démarche, le Service public de Wallonie a soumis aux communes, intercommunales et autres organismes publics, un questionnaire destiné à collecter un ensemble d’informations relatives aux quantités collectées de déchets sauvages et de dépôts clandestins et aux coûts de gestion qu’ils représentent pour ces institutions.
C’est sur base de ces informations que seront établis des indicateurs (quantitatifs ou financiers, locaux ou régionaux) de suivi de la propreté publique.
Jusque quand les communes peuvent-elles répondre à ce questionnaire ? Jusqu’à présent, combien de communes y ont répondu ?
Pour quand les résultats de cette étude sont-ils attendus ?
Monsieur le Ministre dispose-t-il d’un calendrier ?
Réponse du 09/07/2018
de DI ANTONIO Carlo
L’étude commandée par la DGO3 visant à estimer les quantités de déchets sauvages et de dépôts clandestins ainsi que les coûts associés à leur gestion est actuellement en voie de finalisation.
Les résultats sont basés sur une vaste enquête qui a été envoyée aux 262 communes wallonnes ainsi qu’à plusieurs autres gestionnaires de l’espace public. Sans préjuger de la qualité des réponses, c’est en tout cas plus de la moitié des communes wallonnes qui se sont intéressées à la thématique puisque 154 communes ont répondu, au moins partiellement, au questionnaire. La qualité et la fiabilité des réponses ont été analysées par le prestataire de services, de façon à pouvoir les exploiter dans le cadre de l’étude.