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Les tiques

  • Session : 2017-2018
  • Année : 2018
  • N° : 1442 (2017-2018) 1

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  • Question écrite du 21/06/2018
    • de GARDIER Charles
    • à DI ANTONIO Carlo, Ministre de l'Environnement, de la Transition écologique, de l'Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de la Mobilité, des Transports, du Bien-être animal et des Zonings
    Les tiques sont de retour et avec elles, le risque de morsures et selon certains facteurs de développement de la maladie de Lyme.

    Quels sont les moyens mis en œuvre par Monsieur le Ministre afin de faire diminuer cette population indésirable dans les zones les plus touchées ?
  • Réponse du 12/07/2018
    • de DI ANTONIO Carlo
    Les mesures prises dans le cadre des tiques par l’administration wallonne sont pour principalement des actions de communication. Deux brochures explicatives et pédagogiques ont été réalisées afin de sensibiliser les citoyens et prévenir les risques de piqûre de tique. Des conseils et des techniques y sont donnés afin de se préserver et de se protéger. Des affiches ont également été éditées.

    Ces supports ont été diffusés à plusieurs destinataires cibles comme les pharmaciens, les fédérations de scouts, et cetera. Ils sont également disponibles via le site Internet du SPW. Ce matériel sera également diffusé auprès de l’ADEPS et des Points verts ADEPS. Certains éléments de ces affiches ont également été repris pour faire partie d’une campagne d’affichage aux entrées des différents bois et forêts.

    L’administration relaye également l’initiative « TiquesNet » du Fédéral. Il s’agit d’un site d’information et de comptage des morsures de tiques. Chaque déclaration améliore l’identification des zones à risque de morsures de tiques en Belgique afin de cibler les actions de prévention.

    Enfin, dans la cadre des « midis-conférences » organisées par le SPW, la thématique des tiques revient régulièrement.

    À propos des actions visant à réduire le nombre de tiques dans l’environnement, les techniques à mettre en œuvre font encore débat. Suite à une demande de la CIMES (Conférence inter-ministérielle sur l’environnement élargi à la santé), ces techniques sont actuellement discutées au sein d’un groupe de travail auquel participent le fédéral et les entités fédérées.